1. Perverses de mère en fille (1)


    Datte: 03/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... vers Nicole et s’enfonça en elle. « Elle est bonne ta queue, lâcha Nicole. — Tu as bien raison, maman, répondit Chloé. — Vous l’aimez les filles ? — Oh oui !, s’exclama Chloé. » Après quelques minutes à besogner Nicole, Bruno sortit de sa femme et la fit se remettre à genoux. Pointant sa verge vers la bouche de son épouse, il juta abondamment. Nicole, la bouche grande ouverte, récupéra tout le sperme et l’avala. Toujours subjugué par la scène, je bandais déjà ferme dans mon caleçon. C’est alors que je m’aperçus que Chloé me regardait. Je ne savais pas depuis combien de temps elle m’observait mais elle ferma les yeux et jouit. Je profitais alors de l’occasion pour quitter ma position. Je retournais dans la chambre et fus vite rejoint par Chloé. « Tu as tout vu ? — Oui. — Je sais que j’aurais dû te le dire mais ils adorent faire ça devant moi. — Et tu aimes ça toi aussi. Je t’ai vue te caresser. — Oui… Je suis désolée mais ça m’excite. — Il n’y a pas que ça que tu aimes. — Comment ça ? — Je t’ai entendue aussi. — Tu as entendu quoi ? — Tu aimes SA queue… Tu as déjà couché avec ton beau-père ? — Oui, murmura-t-elle. — Tu es perverse ! — C’est vrai mais… tu ne peux pas nier que ma mère… Je t’ai vu la regarder. — Et alors ? — Si tu veux la prendre, elle ne dira pas non. Elle te trouve à son goût. Elle me l’a dit. » D’un bon, je quittais la pièce et la maison. J’ai erré tout le journée en revoyant la scène et en entendant les mots de Chloé. Elle tenta de m’appeler plusieurs fois, ...
    ... je n’ai pas répondu. Je ne pouvais pas rester avec elle ainsi. Mais je ne pouvais pas la quitter. J’étais très amoureux, trop amoureux pour la quitter. En fin de journée, lorsque mon téléphone sonna pour la vingtième fois, je me décidais à répondre. « Je rentre... » C’est tout ce que j’ai dit. J’arrivais devant la maison vers 19h. Sans dire un mot, j’entrais et trouvais Chloé, Nicole et Bruno dans le salon. Chloé avait les yeux rougis de pleurs. Mais j’avais une idée en tête. Je m’approchais de Nicole, je sortais mon sexe et l’attrapais par la nuque. Sans un mot ni même un geste pour éviter l’inévitable, Nicole ouvrit la bouche et y laissa entrer mon sexe. Elle referma ses lèvres et commença à me sucer. Sa bouche douce, sa langue experte et ses mains caressantes faisaient merveille. J’étais dur comme du bois et prenait un plaisir immense à cette fellation. Chloé s’approcha alors. « Je suis désolée… — De quoi ? — De tout ça… — Tu ne devrais pas. Ta mère suce très bien. C’est elle qui t’appris à faire des pipes ? — Oui. — Je m’en doutais… En suçant Bruno ? — Oui, répondit-elle en baissant les yeux. » Je me retirais de la bouche de Nicole et la relevais. A ma demande, elle se dévêtit. Je l’attirais avec moi vers la table pour l’y installer. Je me positionnais entre ses cuisses et la pénétrais. J’entrais dans ce sexe déjà béant et trempé. Elle mouillait d’envie pour moi. Et cela m’excitait. Je me mis à la besogner avec vigueur. Je n’avais jamais bandé aussi fort… même pour Chloé. ...
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