Rencontre en love shop (1)
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Cette histoire se déroule l’année de mes 18 ans. J’avais alors besoin de me dégoter un job d’été mais les offres étaient peu nombreuses. Je sortais du lycée, avait peu d’expérience et personne dans mon entourage ne me proposait quelque chose. En me baladant en ville, je demandais à divers commerçants s’ils avaient besoin de renfort pour l’été. Rien. Je ne désespérais pas pour autant et continuais la quête d’un job ponctuel. Après les grandes artères, je passais aux petites rues et metrouva face à un magasin que je n’avais jamais remarqué. Il s’agissait d’un sex shop, un love shop comme on dit maintenant. Une affiche était scotchée et ils recherchaient quelqu’un de disponible les soirs et weekends. Ca ne correspondait pas exactement à ma recherche mais je décidais et tenter ma chance. J’entrai donc timidement dans le magasin n’ayant pas l’habitude de ce genre d’endroit, même si j’étais grand consommateur de films à cette époque. Les locaux étaient bien différents de ce à quoi je m’imaginais. Les locaux, étaient propres, les cabines également, la lumière tamisée mais pas trop et tout était bien rangé. Le gérant m’expliqua donc le principe du travail : faire du rangement de rayonnage, tenir la caisse, et faire un peu de nettoyage... Par contre, il cherchait quelqu’un à partir de la rentrée de septembre. J’étais tout de même un peu dubitatif et imaginait des clients en pleine détresse sexuelle, de vieux pervers... j’imaginais la misère humaine qui pouvait défiler dans les ...
... lieux. Je changeai totalement d’avis quand il m’annonça que le salaire était de 70 francs net de l’heure. C’est ce qui me décida à accepter. Il me proposait donc 7000 francs par mois pour 25h par semaine. Je lui proposais alors, au culot, de commencer tout de suite car j’étais disponible immédiatement. Il réfléchit et me donna son accord, ce qui lui permettait d’une part de me voir travaillé et d’autre part, ça lui permettait de prendre des vacances à partir de la mi-juillet. Le contrat fut donc rapidement signé. Les deux trois premiers jours me parurent assez longs car les clients ne se bousculaient pas et n’étaient pas vraiment à l’aise, ne sachant pas quoi leur dire hormis leur parler de leurs achats. Le gérant me "forma" tout de même en me présentant les divers rayonnages, par type de films, magazines, gadgets... En le voyant travailler, je me rendis compte que les gens parlaient de tout et de rien et que les conversations n’étaient pas différentes d’un commerce ordinaire. A la fin de la première semaine, je prenais mes marques et devenait autonome, à la plus grande satisfaction du responsable. Je rencontrais sa femme à plusieurs reprises. Elle était charmante. Femme d’une quarantaine d’années, très élégante et raffinée. Ils étaient bien assortis et avaient plus le profil businessman-businesswoman que gérant de love shop. Ils partirent donc en vacances pour 15 jours à la mi-juillet et prendraient le relais à leur retour pour la fin de ce mois de test. Les clients étaient bien ...