1. Sofia (5)


    Datte: 29/10/2017, Catégories: Transexuels

    Depuis ce jour où mon fantasme s’était vu être réalisé, je dois dire que moins de questions trottaient dans ma tête et je me permis alors des choses bien plus extravagantes Ce fut surtout lors de mes stages que je laissai cours à mon imagination. Ce que je préférais c’était porter sous ma blouse des dessous féminins très équivoques révélant mon ambiguïté sexuelle et de sentir sur moi les regards des gens qui se demandaient s’ils voyaient bel et bien ce qu’ils imaginaient. Un jour, j’avais décidé de porter sous ma blouse une guêpière noire en dentelle associée à un tangua reliés tous deux par des attaches. Il faut bien dire que le noir sous une blouse blanche se voit très bien mais comme ma tenue « infirmière » était assez ample, ce qui était dessous ne se voyait pas tellement. Ce matin-là je m’occupais de la toilette de Monsieur G. Il avait à peu près 35-40 ans et je dois dire, pour l’avoir aidé dans sa toilette, qu’il était assez bien membré. Sans que je comprenne ce qu’il se passait vraiment, je reçus sur ma blouse un raz de marée d’eau. Évidemment, l’effet fut immédiat et, comme à un concours de tee-shirt mouillé, on vit tout à travers. Je me tournai vers Monsieur G. pour voir sa réaction et celui-ci me dit : - Alors ça, c’était inattendu. En fait, tu es le cliché de l’infirmière salope. - Et alors, ça vous dérange ? Je ne fais de mal à personne. - Il ne faut pas le prendre si mal. Si tu es très attentionné avec moi, je ne dirai rien à personne. Intérieurement, j’exultai. ...
    ... J’étais arrivé à mes fins car, si je m’habillais comme cela, c’était pour que quelqu’un me remarque et joue avec moi. J’acceptai sa proposition. J’enlevai ma blouse, ce qui me laissait en haut qu’avec ma guêpière et je commençai à prendre sa queue dans ma bouche. Elle passa très vite de très molle à très dure et très grosse. C’était vraiment une belle queue. Je continuai à le pomper et, des fois, je m’interrompais pour lui titiller le gland avec ma langue. Au bout de cinq minutes, j’arrêtai et je lui demandai de me défoncer là, dans la salle de bain. Je me retournai, baissai mon pantalon à mes chevilles et lui, il essaya d’écarter mon string pour voir où se trouvait mon sexe. Il prit un gant imbibé d’eau qu’il pressa juste au-dessus de ma rondelle pour l’humidifier. Je sentis l’eau ruisseler sur mon cul et sur mes jambes toujours épilés de près (on ne sait jamais, il faut toujours être prête). Puis, enfin, il rentra sa bite, non sans mal d’ailleurs car le calibre était assez balaise. Une fois bien au fond, il ne bougea plus, le temps que mon trou se fasse à sa queue. Il commença alors à me limer et ce de plus en plus vite. C’était vraiment bien et mon plaisir débutait à peine lorsque la porte de la chambre s’ouvrit. On s‘arrêta net. C’était l’infirmière qui venait me demander si tout allait bien et si j’avais besoin d’un coup de main. Je lui répondis, toujours avec cette bite au fond de moi, que non et elle repartit sans ne s’apercevoir de rien. La cavalcade reprit alors de ...
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