1. La boulangère et l'étudiant


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, fplusag, vacances, magasin, Masturbation Oral fdanus, fsodo, yeuxbandés,

    ... d’anciens compagnons de Résistance des parents d’Edouard. L’accueil est des plus chaleureux. De nombreuses « santés » au whisky permettent de refaire en une heure toute l’histoire de la Résistance. Puis arrive le moment des adieux avec la mère d’Edouard. Dimitri lui annonce que son fils est dans de bonnes mains et que tout a été organisé pour lui : le stage, les repas, le logement et même des soirées. Avec son associé, ils vont faire d’Edouard un homme, un vrai et il recevra un salaire digne de ce nom. Monsieur Dimitri Dumarez est en pleine forme, c’est un homme qui a le verbe haut. Il est accrédité, tout comme son associé Didier, d’une solide réputation de dur à l’effort, de baroudeur et de coureur de jupons. Il va présenter lui-même son entreprise à Edouard. — Vois-tu, mon jeune ami, mon entreprise comporte 56 personnes, 4 hommes et cinquante-deux femmes. Dans le secteur du bobinage, on ne trouve plus d’hommes depuis la guerre de 14-18. Mais tu verras, on s’y fait assez vite. L’important avec les femmes, c’est de garder ses distances dans le travail.— Et qui sont les quatre hommes, demande Edouard ?— Tu en connais déjà trois : mon associé, le gardien et moi-même. Le dernier c’est notre chef des approvisionnements et de l’entretien, tout le monde l’appelle monsieur Antoine. Il est à un an de la retraite et je te le présenterai lundi. Dimitri s’aperçoit que son verre est vide et décide de s’en servir un petit dernier avant de poursuivre : — Les femmes qui travaillent ici ...
    ... sont là depuis longtemps, souvent plus de vingt ans. Elles dépassent très souvent la quarantaine à l’exception notoire de mes deux jeunes apprenties qui ont tout juste 16 ans et de notre technicienne en électricité industrielle qui a sensiblement le même âge que toi. À propos des jeunes apprenties, elles sont sous ma responsabilité directe et je te demanderai de te tenir à carreau avec elles. Je ne veux aucune histoire, n’oublie pas qu’elles sont mineures.— Tout comme moi, car je n’ai pas encore 21 ans ; mais ne vous inquiétez pas, Monsieur Dumarez, vous pouvez me faire confiance.— Avec les autres, en dehors des heures de travail, ce n’est plus mon problème. Tu vois ce que je veux dire ?— Complètement, Monsieur Dumarez. La première personne que présente Dimitri Dumarez à Edouard est Mademoiselle Patricia Parson : Chef du personnel et responsable administrative. Elle travaille dans un grand bureau vitré qui surplombe tout l’atelier de bobinage, ce qui lui permet d’avoir un œil sur tout. Habillée d’un tailleur gris fer plutôt austère, ses cheveux châtains clairs sont tirés et coiffés en chignon. De petites lunettes dissimulent partiellement ses yeux verts et lui donnent un regard à glacer le sang. Pour Edouard, cette « personne » possède l’élégance d’une porte de prison et la féminité d’une surveillante de pensionnat anglais des années 1900. Dimitri s’aperçoit du trouble d’Edouard. Il attend d’être sorti du bureau pour lui déclarer : — Cette femme est loin d’être aussi méchante ...
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