Ecole du sexe (2)
Datte: 04/03/2021,
Catégories:
Lesbienne
Moi-même, j’avais de la peine pour elle. Cette fille entrait parfaitement dans ma définition du magnifique, voire de la perfection. Ses cheveux blonds tombaient jusque sur ses omoplates, son visage, d’une beauté à couper le souffle, aurait sans problème pu faire jalouser les mannequins du monde entier. Désormais, je la voyais nue. Sa faible poitrine, m’excitant tout autant que celle de ma sœur, qu’elle essayait de cacher, traduisait son appréhension. Ses fesses, ni trop grosses, ni trop minces, rebondissaient à chacun de ses pas. Mon pénis, voyant à travers mes yeux ce spectacle, gonflait de plus en plus au rythme de ses rebonds. Un instant, lorsqu’elle nous fit face, je pus apercevoir son intimité et je m’aperçus que mon plaisir ne venait que de commencer : je voyais ces lèvres sublimes et son pubis sur lequel un petit triangle de poils avait volontairement été épargné, rendant ce spectacle plus magique encore. Seul bémol, elle n’était pas excitée, loin de là, mais qui aurait pu lui en vouloir ? Avoir un cochon pareil comme binôme Je fus tiré de ma rêverie lorsqu’elle se prépara à lui faire une fellation. Alors qu’elle se baissait, il lui attrapa les cheveux et la força à se relever. -Tu as sans doute mal entendu petite coquine. Je dois t’enculer, et ton cul n’est pas sur ton visage. Elle baissa les yeux sur l’organe de son « compagnon ». Elle l’avait toujours en main, apeurée de ce qui se passerait si elle daignait le lâcher. -Mais il faut que je le lubrifie si tu veux le ...
... faire, mes trous sont étroits, tu ne passeras jamais... Elle avait prononcé cette phrase avec tant de timidité que je me surpris à craquer. Ma sœur, maintenant toujours fermement mon membre, s’aperçut de mon état surexcité et, histoire de me faire passer un incroyable moment, se mit à caresser mon gland. En réponse, je la regardais tendrement, enfonçant mes doigts plus profondément encore dans son vagin trempé de cyprine. Elle gémit, mais mes yeux se reportèrent sur la scène. Le petit gros lui lécha la bouche, et la jeune fille, malgré elle, ne put cacher son écœurement. -Rien à foutre qu’elle soit pas lubrifiée, je pousserai plus fort, elle finira par rentré là-dedans. D’un geste, il donna une énorme claque sur les fesse de la jeune fille qui hurla de douleur. Mylène, ma sœur de 19 ans, serra son poing d’un coup, si bien qu’elle manqua de couper l’afflux sanguin de ma bite. -Désolé, lâcha-t-elle. Ce type me dégoûte, t’as vu cette claque ? -J’ai vu, ce n’était pas une fessée coquine pour l’exciter, il voulait vraiment lui faire mal. Ce monstre ressemble moins à un porc qu’il ne l’est vraiment. Je tournais la tête et nous vîmes, ma sœur et moi-même, que les autres semblaient aussi stupéfaits que nous. Et d’après leurs visages froids et énervés, monsieur Auburn et madame Gustave semblaient du même avis. Ne voulant pas recevoir une nouvelle claque, la jeune fille se tourna et se pencha en avant, laissant voir son petit cul et sa chatte, encore moins ouverte que précédemment. Sans ...