Panpan cucul (3)
Datte: 05/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... mère sous un coup plus fort a terminé sur le dos et ils continuent à la battre. Elle prend tout sur la chatte, elle se convulse de douleur et pourtant, elle n’a vraiment pas l’air d’aimer ce qu’on lui fait. J’assiste à son supplice durant vingt bonnes minutes, puis ils se calment un peu, du moins c’est ce que je crois... ou du moins ce que j’espère, mais non. Un à un ils la baisent, à même le sol et je découvre le plus sordide. Les éjaculations sur son corps mutilé, les crachats, les coups de bites dans tout ses conduits et les poings entrés dans son colon... Alors j’ai coupé, je suis incapable d’aller jusqu’au bout, je crains le pire et je ne veux pas le voir. Elle est restée immobile, je ne l’ai pas remarqué avant, mais elle empeste le foutre et la pisse froide. Je suis KO, je me relève à grande peine, je viens de voir ma mère se faire souiller. Elle ne dit plus rien, elle enlève les mains des poches de son Trench-coat et tout doucement elle dénoue la ceinture. L’imperméable vient de tomber par terre, mis à part ses bas et ses chaussures elle est nue. « - Je n’ai pas joui... », lâche t-elle tout bas. « - Il n’y a qu’avec toi que j’atteins l’orgasme.... », avoue t-elle dans un souffle. Je tourne autour d’elle, elle pue, elle est sale, répugnante, tout son anatomie n’est que blessures, outrages et pourtant je la trouve si belle. J’ai envie de la toucher, d’explorer son corps et je ne résiste pas. Je pose ma paume sur sa fesse, la souffrance se réveille aussitôt, mais je ...
... devine aussi qu’il n’y a pas que cela. Elle serre les dents pour ne pas couiner trop fort, alors j’en rajoute et je tripote son cul tailladé par le fouet. Je lui fais mal, mais c’est ce qu’elle désire par dessus tout. Je malaxe sa fesse, elle se cambre et immédiatement je sens une forte odeur musquée qui vient titiller mes narines. Maman mouille ! C’est inespéré pour elle, je la sens maintenant rassurée sur ses aptitudes, elle se laisse faire. Je pétris son derrière à pleine pognes, je réveille sa douleur et elle aime. Mes pognes longent son cul, glissent sur ses cuisses, puis je remonte doucement sur son ventre, ses nichons. Je ne l’effleure pas, je pétris son cuir amoché et je le fais sans complaisance et puis je continue en sens inverse. Je relâche ses nibards après les avoir bien laminé je dévale son bidon, ses jambes, son entrejambe. Je masse son aine, mes doigts courent de part et d’autre de son sexe, mais j’évite de le toucher, je ne vais pas aller trop vite... ni trop loin... Mes paluches retrouvent son séant, je ne résiste pas à m’enfoncer dans sa raie, elle doit être bien douloureuse, j’ai encore le souvenir de son œillet balafré par le knout. Les replis saignent un peu, son trou de balle n’est plus qu’une énorme enflure, lui aussi a pris sévère, il doit être terriblement sensible. Je l’attrape par la base du crane, je deviens naturellement autoritaire. Je serre sa nuque et en la tenant fermement par le cou je l’entraîne vers la table. Elle a posé ses menottes bien à ...