Un rendez-vous chez le cardiologue qui ramène des souvenirs
Datte: 05/03/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
voisins,
copains,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
... scrupule à regarder à cet endroit. Et je lui faisais de l’effet car je pouvais distinguer une bosse dans son pantalon. Je ne fis aucune remarque bien que cela m’excita davantage. Mon esprit partait dans des images où je pouvais imaginer cette verge bloquée sous ce pantalon et que je libérerais telle une fée pour m’en occuper dignement. On continua nos discussions, parfois croisées, et au bout d’un moment, Chris lança un petit mot dans l’oreille de Nath. Quelques minutes plus tard, Rob s’en alla, et ensuite c’est Chris qui proposa ouvertement à Nath d’aller se balader un peu. Je me sentais seule et inutile, comme si je leur tenais la chandelle sachant que les regards de Nath étaient clairs, que j’avais imaginé des choses sur la suite de la nuit et que cela m’avait assez émoustillée. Je partis rapidement, payant en coup de vent, prenant juste mes affaires, dans l’incompréhension des deux futurs amants. Sur le paillasson de mon appartement se trouvait une enveloppe avec mon prénom noté à la main : Clémentine. Je rentrais chez moi, l’ouvris d’un geste énervé et découvris deux photos de moi. La première, nue sur mon lit, on voyait mes fesses distinctement, centrées. Sur la seconde, j’étais assise en tailleur le téléphone à la main. Mes petits seins étaient clairement visibles, mes fesses aussi, encore. La qualité était assez bonne, je trouvais presque ces photos jolies. Un numéro de téléphone était derrière l’une d’elles. Je pris mon iPhone, et composai le numéro sans ...
... réfléchir. Au bout de deux sonneries, il décrocha et je ne lui laissais aucune chance : — Que veux-tu ?— Salut Clémentine.— Que veux-tu ?— Pourquoi es-tu aussi agressive ?— J’aime pas les voyeurs, tu cherches quoi ?— Juste à te connaître— Bah t’as tout vu, ça te suffit pas ?— Voir quelqu’un n’est pas la connaître— Que veux-tu ?— Ça te dirait un dîner ?— Non.— …— On peut se voir tout de suite pour régler ça.— Oh génial alors, je connais un bar en bas de la rue…— Chez toi.— Ah…— Dans cinq minutes.— Euh… OK, le code est 1462.— J’arrive. Et je raccrochais sur ces mots. Je ne me reconnaissais pas dans cette réaction. L’énervement causé par ma meilleure amie avait dû être le déclencheur mais j’avoue aussi qu’un « inconnu » qui s’intéressait comme ça à moi me plaisait. Plaisir coupable. En sonnant chez le « Monsieur Hurchant », j’eus subitement envie de fuir mais je ne pouvais plus reculer. Il ouvrit rapidement et me pria d’entrer. Lumière tamisée dans l’appartement, deux verres de champagne déjà préparés. — Que veux-tu ?— Juste te connaître, je te l’ai dit tout à l’heure.— Et c’est pour ça que tu fais de telles photos ?— Comment je fais pour résister ?— Tu fermes tes rideaux.— J’en ai pas, et même si, je le ferai pas. Une fille nue ou presque, j’aime regarder. Y a rien d’mal.— Non. Mais c’est moi et je veux pas. Surtout que tu prennes des photos.— C’est la première fois. Il y avait une magnifique lumière.— Je suis là, on boit un verre et tu supprimes à tout jamais ces photos ?— Oui, je te ...