Tendres cousins
Datte: 06/03/2021,
Catégories:
hh,
jeunes,
Inceste / Tabou
grossexe,
vacances,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Transexuels
intermast,
Oral
jeu,
init,
... n’osais pas encore me l’avouer, très sexy. — À toi, me dit-il. Comment ça à moi ? Que voulait-il dire ? — Enfile la culotte de ma mère. Je l’ai fait, à toi de le faire aussi. Pouvais-je me dégonfler ? En même temps je trouvais ce petit jeu entre nous plus qu’amusant et j’avais moi aussi envie de m’y prêter. — D’accord, tourne-toi le temps que je me change. Je ne sais pas pourquoi, mais malgré l’incongruité de la situation, je conservais encore un reste de pudeur. Mon cousin fit volte-face et tandis qu’il avait le dos tourné, je me changeai. La culotte de ma tante était un peu grande et mon sexe y tenait à l’aise. Moins transparente que le string de ma cousine, elle laissait tout de même deviner la forme de mon sexe qui prenait des proportions avantageuses au fur et à mesure que j’ajustais le tissu. — Ça y est, tu peux te retourner… Mon cousin me fit face et son regard se fixa sur mon bas-ventre. Il ne pouvait ignorer du premier regard que mon sexe était en train de tendre le tissu. Une bosse déformait le sous-vêtement dont la structure n’était bien sûr pas faite pour contenir pareil organe. Alexis ne dit rien, je pense qu’il était aussi surpris que moi par ce qui était en train de se passer. — Et bien, nous voilà belles, toutes les deux, lui dis-je en jouant mon nouveau rôle de « femme ». Alexis s’amusa de ma féminisation et reprit : — On dirait deux petites salopes . T’es très sexy ma chérie. Pour poursuivre le jeu, je fis quelques pas devant lui d’une démarche chaloupée. ...
... Alexis me regardait vraiment comme si j’étais une fille. Je sentais ses yeux fiévreux sur mes hanches, mes fesses, et mon bas-ventre. La situation m’excitait de plus en plus et ma culotte était maintenant toute tendue. Je n’osais plus trop regarder Alexis en face et mon regard se porta sur son string dont le tissu à ma grande surprise était aussi tout étiré que le mien. — Je vois que la situation te plaît, petite coquine, lui lançais-je.— Et toi ma chérie, tu ne serais pas un peu lesbienne ? Je ne savais plus trop quoi dire… Je continuais à me trémousser devant Alexis, dont le regard était maintenant très lubrique. — Ça te plairait que je sois lesbienne chère petite « Alexia » ? Alexis « Alexia », se rapprocha de moi et tout sourire avec un culot effronté que je n’aurais jamais imaginé, se campa à quelques centimètre de moi et, yeux dans les yeux, me répondit : — Oui. Son sourire était si tentant. Je le regardais, de haut en bas. Son sexe semblait prêt à jaillir du minuscule string de sa sœur. Le mien était aussi tendu à l’extrême. Un pas de plus l’un vers l’autre et ils entreraient en contact. Combien de temps dura cette interminable seconde ? Je ne sais plus, comme je ne sais plus qui a avancé vers l’autre. Les deux tissus sont entrés en contact. J’ai senti la verge de mon cousin contre la mienne. Sa bouche s’est entrouverte. Sa langue força ma bouche, pour me rouler la première pelle de ma vie. Nos bites tendues, collées l’une à l’autre semblaient vouloir exploser les fins ...