Papa et sa salope de fille (1)
Datte: 06/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... sensibles et qu’ils sont capables à eux seuls de me donner beaucoup de plaisir. C’est ainsi qu’un soir comme les autres, mon père s’était enfermé dans la salle de bain pour préparer une de ses nombreuses sorties. Pour ma part, je venais de me mettre en pyjama et je regardais une de mes séries préférées sur Netflix quand j’entendis sonner. Sans prendre la peine de me couvrir, je descendis ouvrir. Je portais un simple débardeur, évidemment sans soutien-gorge, et le vent froid qui s’infiltra du dehors fit immédiatement pointer mes tétons. Je me retrouvai face à l’un des amis de mon père, un homme assez petit, chauve et dont la bedaine dépassait presque de la chemise. Il eut beau me sourire poliment, je vis bien que son regard s’attardait sur ma poitrine. Je me mis à rougir tandis que je l’invitais à entrer pour attendre mon père. Son sourire devint libidineux et ses yeux pétillaient d’amusement. J’avais l’impression d’être toute nue face à lui et sa présence me gênait horriblement. ijhiuuba Heureusement, mon père ne tarda pas à descendre. Ses fesses étaient bien moulées dans un jean qui mettait également en valeur ses cuisses puissantes. En me voyant en débardeur, il attrapa machinalement un vieux gilet qui pendait à la rambarde de l’escalier et me le tendit. C’est à ce moment-là que l’incident se produisit. L’espace de quelques secondes, l’un de ses doigts fut en contact avec l’un de mes tétons et je poussai un gémissement de pur plaisir qui lui fit hausser un sourcil. Mais ...
... bientôt, il avait disparu à la suite de son ami, me laissant seule et excitée. Mes bouts étaient maintenant si durs qu’ils en étaient presque douloureux. Entre mes cuisses, je sentais que ma chatte se lubrifiait comme jamais. Je ressentais le besoin impérieux de me soulager mais j’ignorais comment faire. Je rejoignis ma chambre, retirai mon haut et me mis à me titiller les tétons. J’ajoutai un peu de bave pour que ça glisse mieux, y allai de plus en plus fort, mais je sentis rapidement que cette méthode avait ses limites. Il me fallait quelque chose de plus agressif. C’est alors que mes yeux tombèrent sur les pinces à linge qui trainaient par terre à côté de l’étendoir où séchaient mes sous-vêtements. L’idée me parut complètement folle mais pour une fois je passai à l’action. Je m’emparai d’une première pince à linge, hésitai un instant, l’ouvrit, puis la refermai sur mon téton gauche. Je ressentis aussitôt une vive douleur qui se mua rapidement en un plaisir intense. Je me dépêchai de faire subir le même sort au téton droit. Allongée sur mon lit, une pince à linge accrochée à chacun de mes bouts, je glissai deux doigts dans ma culotte et me mis à me masturber en gémissant comme une salope, aussi fort que possible. Puis, comme je ne venais pas encore, de ma main libre, j’attrapai une des pinces pour la serrer encore plus fort autour de mon sein. C’est alors que, la douleur se mêlant au plaisir, je jouis. Jamais je n’avais autant mouillé. La main qui m’avait servie à me masturber ...