La femme de ma vie
Datte: 06/03/2021,
Catégories:
fh,
couple,
hotel,
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
... discrètement. Je passe me rafraîchir à la salle de bains, et quand je reviens dans la chambre, je trouve une femme dans une tenue sans équivoque. À Milan, la chambre était en bois foncé, moquette marine, c’était une nuisette bleue, et des talons vertigineux. À San Remo, elle ne portait que des bas blancs et un collier très long. À Portofino, vue sur mer inégalable, hôtel presque vide hors saison, c’était la complète : la guêpière noire, les bas noirs, les chaussures noires, et le rouge à lèvres le plus rouge que je n’ai jamais vu. Du samedi 8 heures jusqu’à 19 heures, nous ne sommes pas sortis de la chambre. Un croque-monsieur auroom-service, une flûte de champagne, des fraises. Il y avait une vidéo X à la demande, toute en italien, et la fille était aussi brune que ma femme. Nous nous sommes sans doute pris au jeu. Nous avons passé la plus grande partie du film à nous branler mutuellement. Quand la fille s’est fait sodomiser par son partenaire, j’ai senti ma femme un peu plus troublée, mais elle ne m’a rien dit. Quand j’ai joui, elle s’est jetée sur ma queue pour me boire et est venue le partager avec moi. Un gros bisou baveux au sperme, les yeux grands ouverts. Je l’aime. L’après-midi, le soleil rentrait jusque sur le lit. Et là, elle m’a dit, avec son habitude de me faire craquer d’une seule phrase : — Tu as pensé à prendre du lubrifiant ? Pourquoi y aurais-je pensé ? Elle est trempée sur commande et refuse toute introduction anale de façon ferme et définitive. Mais ...
... voilà… — Tu dis toujours que je suis un cochon ? Eh bien, tu as raison. J’ai mis un tube de gel lubrifiant dans la valise.— Va vite le chercher, j’ai trop envie de t’offrir mes fesses. Tu iras doucement ?— Au début, oui, bien sûr Comment voulez-vous résister à ça ? Je ne sais même pas si elle m’a dit offrir ou ouvrir. Ça change quoi ? Nous avons passé une heure à jouer avec son petit trou. D’abord avec ma langue, puis un doigt, beaucoup de gel, puis le moment est arrivé. J’ai mis mon anneau pénien qui me rassure et me fait la bite plus dure et l’érection plus durable. Elle s’est mise à quatre pattes, face à la fenêtre et j’ai enculé la femme de ma vie doucement, lentement, millimètre par millimètre, avec vue sur la mer ! C’est elle qui a commencé le va-et-vient doucement, en poussant ses fesses en arrière, j’ai rajouté du gel, et j’ai accéléré la cadence. Elle n’a pas crié, mais sa respiration était tellement forte, que je me demandais si elle souffrait. — Je te fais mal ?— Oh non, tu me fais du bien, si tu savais, c’est énorme, j’ai l’impression que ta bite a doublé de volume, c’est différent de devant, mais je ne sais pas si ce n’est pas meilleur.— On le refera ?— T’as intérêt !— Ne t’inquiète pas, je ne risque pas d’oublier ton p’tit cul. Tu m’aimes ?— J’aime ta bite, j’aime ta bite, quand elle bien dure. Vas-y, éclate-moi… J’ai accéléré peu à peu. Et d’un coup, comme un éclair, j’ai joui, j’ai eu l’impression que ma bite éclatait tellement c’était fort. On a pris un bain, on ...