1. La cousine de ma mère


    Datte: 06/03/2021, Catégories: f, h, fplusag, campagne, voyage, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation hdanus,

    En 1972, âgé de 24 ans et terminant un doctorat de thermique, j’ai eu l’opportunité de pouvoir effectuer un stage de deux mois en milieu d’été près de Sully-sur-Loire dans une usine travaillant pour l’industrie automobile. Il leur fallait résoudre un problème d’échauffement d’axes d’essuie-glaces qui entraînait leur rupture. D’où de graves problèmes de garantie. Se posait donc le problème de mon logement dans cette région en pleine période touristique. Une cousine éloignée de ma mère qui était propriétaire d’une grande villa à une vingtaine de kilomètres de cette usine a proposé de m’héberger pendant toute la durée de mon stage. J’arrive donc à la fin du mois de juillet dans ma R4 vert métallisé, le coffre plein de tout mon attirail. Ma cousine Florence et son mari Pierre me reçoivent très gentiment : — Sois le bienvenu, Philippe, me dit Florence.— Un grand merci pour votre accueil, répondis-je. Mes cousins mettent à ma disposition une très belle chambre située sous les combles et d’où l’on a une vue magnifique sur la Loire. Le problème que je ressens immédiatement est que, pour un garçon de mon âge, cette beauté du paysage ne compense pas le côté un peu isolé de l’endroit. En deux mots, je ne suis pas dans le haut lieu de la drague, quoiqu’il doive bien y avoir dans les environs quelques belles étrangères visitant ces fameux châteaux de la Loire. Mais je m’aperçois tout de suite qu’il ne faut pas trop y compter, car sortir trop souvent le soir doit constituer une gêne pour ...
    ... mes hôtes. Il ne faut pas confondre famille, même éloignée, et chambre d’hôtel. De plus, ayant une thèse à rédiger, il faut que j’y consacre au moins un peu de temps. Ma cousine Florence est une assez belle femme d’environ quarante-cinq ans. Elle possède des formes harmonieuses et mon grand-père aurait pu dire qu’elle avait des seins et des fesses à satisfaire pleinement la main d’un honnête homme. Son mari Pierre, très sportif, est représentant industriel en machines spéciales. C’est l’homme de la route. Il parcourt plus de cinquante mille kilomètres par an et est rarement chez lui. D’après les on-dit familiaux c’est un sérieux cavaleur et, à la différence des marins qui ont une femme dans chaque port, lui a une « jeune amie d’enfance » dans chaque ville industrielle. Leurs deux enfants, un garçon et une fille, sont actuellement en vacances avec une vieille 2CV dans les pays nordiques. Ils ne doivent rentrer que vers la fin septembre pour la rentrée universitaire. Florence me fait un tour d’horizon des habitudes de la maison. Le dîner a lieu vers 19 h, le plus souvent dehors sur la terrasse, c’est à dire quand le temps et la température le permettent. Sinon, c’est dans la véranda. Le repas de midi se prend lui aussi assez tôt vers midi moins le quart. Ces horaires me surprennent, les jours à cette époque étant très longs. C’est pourquoi je lui demande : — Dis donc, Florence, pourquoi Pierre et toi mangez-vous si tôt ?— C’est très simple, à cause des enfants, la télévision est ...
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