1. Le perruque ensorcelée (Ep. 3)


    Datte: 07/03/2021, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... été filmé et se trouvait sur le site. Comment avait-il fait ? Aucune idée… A la fin du bandeau avec les vidéos juste un mot : « Regarde-toi sur ces vidéos. Regarde ton visage, quand tu fais jouir ces gars, quand tu avales leur sperme, vois le contentement sur ton visage. Vois le plaisir que tu procures et qui t’es procuré. Demain tu trouveras un nouveau colis avec de nouveau ordres. Mais sache que tu m’appartiens déjà. L’ancien toi n’existe déjà plus… »J’étais à la foi excitée et terrorisée… je vis le bandeau avec les vidéos… je commençais à les regarder toutes les unes après les autres, finissant par me masturbant en me voyant à l’écran : j’avais un air tellement dépravé, je faisais tellement pute… mais quel air de bonheur j’avais, de liberté, que plus rien, plus aucune convenance morale, me retenait… et je voyais à l’écran mes jouissances, mes soubresauts de plaisir… j’en ressentais presque les sensations physiquement ! Je jouis une ou deux fois, mais continuais à me masturber tout en regardant les vidéos. Puis, éreintée, j’allais dormir.Le lendemain, je découvris le nouveau paquet du maître… une combinaison en latex noir ! Ce ne fut pas simple à mettre, mais une fois mise, qu’est-ce que c’était sexy ! Je me mirais dans le miroir. LA combinaison s’arrêtait au ras du cou, avec une tirette courant tout le long du dos pour l’ouvrir. Elle couvrait tout mes bras, jusqu’au poignet. De petits anneaux en fer se voyaient aux poignets, sans doute pour être attaché, ou pour ...
    ... m’attacher à quelques choses… Elle collait à la peau, on devinait donc parfaitement mes seins, qui pointaient sous le latex. Une tirette faisait le tour des seins, pour pouvoir les mettre à l’air. La combinaison descendait jusqu’à mi-cuisse, comme un robe mini. J’avais un string noir en latex lui aussi, des jarretelles noire qui attachaient des bas en latex qui couvraient mes jambes, jusqu’aux chevilles, où de nouveau deux petits anneaux en fer se voyaient. Le latex était doux et brillant, les tirettes et anneaux métalliques étaient rutilants. Il y avait dans le paquet un collier en cuir, avec une laisse, qui avait aussi une chaîne métallique donc chaque maillon était rutilant et se terminait par une poignée en cuir noir, pour tenir la laisse. Il y avait aussi un mot, très laconique.« Habille-toi avec la combinaison, met les chaussures à talon, et ton imper par-dessus. Ne prend que la laisse avec toi, et rien d’autre. Et rends-toi à cette adresse, en taxi. »Suivait une adresse, que je ne connaissais absolument pas. J’étais à la croisée des chemins. Ne rien prendre ? Ni portefeuille, ni papier… ni même mes clefs ? Était-ce un aller sans retour ?Mais je me vis dans le miroir. Si belle. Si excitante. Je me sentais excitée, j’avais envie de sexe. Il n’y avait que ça dans ma tête. Rien d’autre. Je mis donc les chaussures, l’imper, fourrais la laisse dans la poche de l’imper, que je fermais soigneusement, ouvris ma porte… me retrouvais sur le palier… j’eus un instant d’hésitation… un court ...
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