Le perruque ensorcelée (Ep. 3)
Datte: 07/03/2021,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
... main lâche ma nuque, et vient caresser mes fesses. Il écarte le string, sa main caresse mon sillon, puis veut aller plus loin… là il est franchement étonné, il ne s’attendait pas à trouver des testicules à cet endroit ! Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir, il est excité, il faut en profiter ! Je m’assieds quasi sur lui, positionnant mon petit anus contre son gland, attendant son assentiment… encore un peu étonné, il hausse des épaules… je prends ça pour un assentiment, et me laisse doucement descendre sur lui. Son gland passe mon anus, puis sa hampe s’enfonce en moi… je vais et vient le long de sa verge, tandis qu’il me caresse les fesses, les seins, me pince les tétons… soudain il ahane de plus en plus fort, et je le sens venir en moi. Je le laisse bien se vider en moi, puis, lorsque je ne sens plus les soubresauts de son membre, je me retire doucement, puis sors du taxi. Je le regarde, il reprend son souffle, les joues rouges,… je lui pose un bisou sur le nez et le remercie.Ensuite je m’approche de la grille. Il y a sur le côté gauche un interphone, avec une sonnette, un parlophone, une caméra. Je sonne. Personne ne répond, mais je vois la caméra qui bouge dans son petit hublot. J’attends quelques minutes, j’entends derrière moi le taxi qui s’en va. Je me demande quoi faire si jamais personne n’ouvre lorsque soudain un bruit se fait entendre devant moi, puis dans un mouvement mécanisé la grille s’ouvre. J’entre, et la grille se referme derrière moi. Je vois un homme ...
... qui s’avance vers moi. Il est grand, assez âgé, le crâne dégarni, entouré d’une couronne de cheveux blancs. Il porte des habits de majordome. Quasi comme au siècle dernier !- Je suis…- Je sais qui vous êtes, Monsieur Dimitry vous attendait. Avez-vous apporté la seule chose qu’il vous avait demandé de prendre avec vous ?Il parle comme s’il était dénué de tout sentiment, de façon tellement froide. Ce que le maître m’a demandé d’apporter ? La laisse ! Je la sors de l’imper et la montre au majordome. Il tend la main, je la lui donne.- Je vais prendre votre imper aussi, vous n’en aurez plus besoin.Je le lui donne aussi. Il le calle sous le bras, et me met le collier autour du cou. De façon très professionnelle, efficace. Je n’ai quasi rien senti. Puis il accroche la laisse au bout du collier. Et il avance dans l’allée, me tenant en laisse. Je marche derrière lui, sans rien dire. Je me sens archi dominée, et cela me rend apeurée et excitée à la fois.Au bout de l’allée, se trouve une sorte de grand manoir. Je ne vois personne, pas de voiture. L bâtisse me fait une drôle d’impression, un peu comme ces manoirs dans les films d’horreur. Le majordome monte les quelques marches du perron, puis entre dans la bâtisse, moi sur ses pas. Nous sommes dans un grand hall, avec un immense double escalier qui mène aux étages. Du marbre au sol, ainsi que pour les marches de l’escalier, surmonté d’un tapis rouge. Devant nous, là où l’escalier se sépare pour partir sur la gauche et sur la droite, un ...