COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (1/20)
Datte: 07/03/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... Rangeons, allons chez moi, je t’emmène chez Fabrice, demain, c’est lundi, ta boutique est fermée ! • Oui, aujourd’hui comme tous les ans, c’est une copine qui la tient, c’est mon employée, je l'appellerai du resto de Fabrice. Repas sympa, Fabrice nous gâte, rappel de plein de souvenirs pour des jeunes ayant la nature pour nous. Je suis repue de friture de truites, nous nous remémorons plusieurs détails, nous remontons à Chazal par le lit du torrent, falaise d’un côté, torrent de l’autre, Martine a l’habitude, moi, je fais de l’huile. Dans ma chambre, ne pensant pas dormir chez mon amie, je suis nue sur mon lit, j’ai pris la boîte en cuir, je la retourne dans tous les sens, aucune ouverture. Aucune aspérité, j’appuie, aucun mécanisme visible, du cuir, rien que du cuir, en la tournant, elle m’échappe, j’essaye de la rattraper, j’y arrive presque quand elle tombe définitivement sur le parquet. Je me penche pour la récupérer, quand j’y arrive, les fesses en l’air, heureusement que Martine n’entre pas, elle aurait une vision imprenable, j’entends l’eau couler. Elle doit être dans la salle de bains que j’ai quittée tout à l’heure avec la grande serviette qu’elle m’a passée entourant ma poitrine. Quand j’arrive à le récupérer, je sens qu’il s’est passé quelque chose, je tirais, je cherchais comment l’ouvrir, c’est fait elle est ouverte, comment ça a ...
... fonctionné, je l’ignore. À l’intérieur, une peau comme celle d'un serpent de 5 centimètres sur 6, mieux, c’est comme un parchemin, j’arrive à le sortir, c’est encore du cuir, mais avec des signes inconnus. Je lâche la peau, mais le phénomène continue, pire même, il empire. Je dois mettre mes doigts dans mon vagin et comme une midinette que je ne suis plus, je me masturbe jusqu’à l’éclatement de mon corps. Incroyable, quelle propriété a ce parchemin ? Je sens que je ne suis pas rassasiée, j’ai posé la boîte sur mon portable, je pose le parchemin dessus. Le phénomène semble durable, car malgré ma masturbation, je suis de nouveau en feu. Je me lève, pour aller dans la cuisine, la friture avec ses pommes de terre soufflées, ajoutée au vin rosé et ma masturbation m’ont donné soif, je suis devant le frigo quand je sens une main venant me prendre le sein. • Véronique, j’ignore ce qu’il m’arrive, j’ai senti une grande chaleur dans mon ventre, depuis notre jeunesse, je ne me suis pas caressée, j’ai eu soif et je vois que toi aussi. • Je me suis caressée aussi, je ne le faisais jamais depuis des années, embrasse-moi. Nos bouches se trouvent, mes mains caressent son corps nu comme le mien. Nos seins se frottent et ma main plonge dans sa chatte qui ruisselle. Inutile de lui parler de la boîte, je dois garder ce secret pour moi, mais pourquoi refuser de nous donner du plaisir…