Tante Jacky dans la grange
Datte: 08/03/2021,
Catégories:
h,
fh,
extracon,
alliance,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
amourcach,
prememois,
... jaune à pois verts qui lui tombait à mi-mollet et que chacun de ses pas faisait voleter avec grâce. Un superbe petit décolleté laissait voir la naissance de ses seins et, croyez-moi sur parole, jeune et fringant comme je l’étais, je ne manquais ni d’imagination ni de prétextes pour me placer de façon à voir une plus grande part de ses seins splendides. Mon oncle Paul, la voyant approcher, lui dit : — Ha ! Oui Jacky, je vais descendre au village. J’ai quelques matériaux à me procurer pour installer les génisses dans l’étable avant de les rentrer cet automne. Il me faut ajouter des carcans pour nos futures vaches qui vont grossir notre troupeau l’an prochain. Au moment où mon oncle Paul amorçait un pas vers la porte pour partir, ma tante s’empressa de le rejoindre et lui donna un petit baiser bien gentil en lui disant : — Mais tu ne vas pas partir sans déjeuner, mon grand costaud. Allez, installe-toi à la table, que je te prépare une de ces bonnes grosses crêpes comme tu les aimes. Mon oncle Paul, appâté par ces crêpes qu’il aimait tant, ne se fit pas prier et vint se rasseoir à la table ; il reçut dans son assiette la crêpe promise qu’il s’empressa d’avaler, tout pressé qu’il était de descendre au village pour compléter ses commissions. Je regrettais les œufs et bacon que l’oncle Jacob m’avait fait cuire, ayant pu me faire servir une crêpe par ma tante qui invariablement se serait penchée un peu pour la déposer dans mon assiette. J’aurais alors pu lui jeter un regard en coin ...
... et biaisé, plongeant dans son décolleté. Mais telle ne fut pas ma chance. Pendant que tante Jacky, qui avait à peine vingt-sept ans, s’affairait au poêle à bois, malgré la chaleur accablante de ce jour ensoleillé de milieu d’été, je tentai par tous les moyens de voir par l’échancrure de son décolleté un peu plus de ses seins à chaque fois qu’elle se penchait, ne fut-ce que légèrement. Bon, il me faudra bien aujourd’hui encore me contenter de ces furtives visions et me rendre derrière la grange pour me masturber un bon coup en imaginant les longues et jolies jambes ainsi que les superbes seins de mon adorable tante Jacky. Que de fois m’étais-je masturbé en imaginant le corps splendide et sexy de ma tante Jacky ! Parfois, je me disais qu’il serait grand temps que je retourne à la maison, chez mes parents, pour courir après les filles du village en espérant en accrocher une, sous les cerisiers ou dans les prairies avoisinantes. Je n’avais pas de petite amie à cette époque, bien trop timide que j’étais alors. Pourtant, je voyais bien que les filles me regardaient parfois avec des yeux bien plus que sympathiques. Sans doute me trouvaient-elles séduisant ? Enfin… Avant de refermer la porte derrière lui, mon oncle Paul, prêt à descendre au village, dit : — Jacky, veux-tu, avant-midi, monte dans le fenil de la grange et jette un peu de foin en bas. On le donnera aux vaches lorsqu’on les fera rentrer pour la traite ce soir. Tu sais comme elles aiment cette petite gâterie. Elles sont ...