1. Ce n'était qu'une simple soirée (2)


    Datte: 09/03/2021, Catégories: Hétéro

    ... maintiens ses hanches contre les miennes. Je fais de petits mouvements de haut en bas. Elle me regarde droit dans les yeux. Je lui dis : — Écarte ton string… Elle fait non de la tête mais sa main fait l’inverse. Vanessa souffle : — Pas dedans. Ma bite glisse désormais contre sa vulve et entre ses lèvres humides. Je suis surexcité : — J’ai terriblement envie de faire l’amour avec toi, Vanessa. J’aimerais que nous passions la nuit ensemble. Vanessa esquisse un sourire dans son excitation. Elle jouit soudain de cette masturbation improvisée. Elle recule, baisse les yeux sur mon sexe puis se penche dessus. Elle le prend timidement dans la bouche, peu à peu, les lèvres pincées. Elle se redresse juste après m’avoir mieux pris en bouche. Elle sourit : — Là, il faut vraiment que j’y aille. Elle se rhabille, ferme son manteau. Je fais de même. Elle me donne son numéro de téléphone : — J’ai mémorisé le tien tout à l’heure. Je ris. Un dernier baiser. Elle monte les escaliers. — Vanessa ? Elle se tourne. — Soulève ta robe. Elle rit, attrape sa manteau et sa robe et soulève. Son gros cul et sa culotte de cheval me font fondre. Je lui lance un baiser et elle s’en va. Je reprends le chemin à l’envers et me dépêche d’aller à la boulangerie. Jessica n’y est pas. Je prends un croissant en l’attendant. Mon téléphone sonne. C’est elle : — Je viens de ressortir de la boite. J’arrive. — Prends un taxi. — Je n’ai pas d’argent. — Je le paierai. Que veux-tu manger ? — Un pain au chocolat et un ...
    ... croissant. Cinq minutes plus tard, je m’engouffre dans la voiture. Qui repart aussitôt. Je dis : — Où va-t-on ? — Chez moi si ça te va. Mes parents sont absents pour le week-end. esqeggvt Jessica mange les viennoiseries dans la voiture sous l’œil mauvais du conducteur. Il ne faut qu’une dizaine de minutes pour atteindre une zone résidentielle. La maison est la dernière au bout d’une allée. Il fait nuit mais la distance entre le portail et la maison me laisse pantois. Nous entrons. Jessica allume et… j’hallucine. C’est le grand luxe. Des tableaux, des statues, des dorures, c’est clairement "too much", mais ça fait son effet. Jessica lit dans mes pensées : — Oui, je sais, ça en jette. Mais c’est moche. Tu peux le dire. Sur un pas, elle retire ses talons puis sa veste tombe par terre. Elle se tourne vers moi et m’embrasse. Je bande illico. Jessica me prend la main et nous empruntons un escalier pour descendre au sous-sol. Dans la pénombre, nous traversons un vaste pièce puis un couloir et pénétrons dans une chambre. Elle n’allume pas, préférant tamiser une fine lueur. Suffisant pour se voir, suffisant pour découvrir un lit immense face à une baie vitrée qui ne l’est pas moins. Un bureau encombré, une bibliothèque contenant autant de classeurs que de livres, des tas de vêtements éparpillés, la chambre semble être le QG de la jeune fille. Je n’ai même pas eu le temps de finir mon "tour d’horizon". Déjà, Jessica est agenouillée devant moi et me suce avec un entrain et une fougue ...