1. Je suis resté bouche bée (9)


    Datte: 29/06/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... couche disant que le respect n’existait pas hier soir à la vue de tous, que ce n’est que foutaise. En même temps, ils n’ont pas forcément tort, depuis que j’ai entamé ma relation d’adultère, je suis devenue une belle coquine. Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut le crier sur les toits. Monsieur De Gonzac les prend à part, essaye de les calmer ce qui arrive au bout de dix minutes puis les invite à venir ce soir à dix-sept heures trente. J’en ai du mal à avaler ma salive. Je l’interroge, et il me répond qu’après les hommes du bus, le serveur de la brasserie, ces deux hommes me désirent énormément. Je lui réplique avec une colère non dissimulée que je ne suis pas sa putain, que j’ai encore le droit de choisir avec qui je couche. Il me répond le plus simplement du monde en me rappelant qu’il apprécie le candaulisme, et l’échangisme, que dans le bus, j’avais réagis de la même manière pour finalement apprécier le traitement qu’il m’avait offert. Là, il vient de marquer un point, car effectivement dans l’autobus, j’ai pris un pied d’enfer. Dans le même temps, je me suis calmé, et accepte donc ce rendez-vous. Ce dernier me promet qu’à l’avenir, il sera plus attentif vis-à-vis des partenaires qu’il choisira. La journée se déroule normalement, le midi, je mange une nouvelle fois dans la brasserie, le serveur m’offre alors son plus grand sourire, et je rêve à travers la vitre. Ou plutôt, je repense à hier soir, à ce qui s’est passé entre Monsieur De Gonzac, le bel italien et ...
    ... moi-même. J’en soupire d’émotion. À la fin du repas, je ne paye pas, il est offert me dit mon bel italien puis je retourne dans la boutique. Il est dix-sept heures et quart, j’entends la voiture de mon amant, il se présente à la porte, nous nous embrassons puis nous discutons de tout et de rien, il me promet à nouveau qu’il m’emmènera dans des clubs échangistes afin que je choisisse mes partenaires sexuels et qu’il arrêtera de me mettre dans des situations compliquées. J’accepte cette proposition. Un quart d’heure après, Éric et Aldo frappent à la porte, ils se sont faits beaux pour l’occasion, puisqu’ils ne sont plus en tenue de rue, si je peux me permettre de le dire ainsi. Ils sont tout propres, même le chien a eu droit à sa toilette visiblement. Je leur propose de boire un verre dans l’arrière-boutique, mais c’était sans compter sur la contenance de leur sac à dos. Ils ont ramené des bières fraîches et des chips. Ils ont réellement pris la décision de me séduire plutôt que de me sauter vulgairement comme le disait Éric lors de notre dispute de ce matin. Nous trinquons donc à la santé de chacun, nous discutons de tout et de rien, puis soudain Monsieur De Gonzac m’invite à faire un striptease. J’allume la musique de la boutique, mets un disque contenant des chansons langoureuses, puis commence mon effeuillage. Je joue dans un premier temps avec les bretelles de ma robe en faisant semblant de les enlever, je soulève cette dernière légèrement afin de montrer le bas de mes fesses, ...