1. Premier gage de soumission


    Datte: 09/03/2021, Catégories: ff, jeunes, fépilée, vacances, plage, ascenseur, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, ecriv_f,

    ... que tu le prendrais mal, l’interrompit Sylvie en se redressant et en tentant d’enlever sa main de la culotte d’Isabelle. A sa grande surprise, elle entendit Isabelle lui susurrer : — Laisse-la là, s’il te plaît. Sylvie regarda Isabelle dans les yeux et la vit sourire. — Si tu en as vraiment envie, Sylvie, alors dépêche-toi de le faire avant que j’aie le temps de réfléchir ! Sylvie regardait Isabelle d’un air ébahi. : — Tu veux dire … Tu me laisserais vraiment faire ? C’est bien vrai ?— Maintenant, ne parle pas, Sylvie, murmura doucement Isabelle, mais fais-le. Quoique … je ne sais pas si j’aurai le courage d’aller à la plage demain sans une culotte… Elle eut un sourire espiègle : — Mais je suis impatiente de sentir ta langue sur ma foufoune lisse ! Sylvie n’avait pas attendu, s’était levée le cœur battant et elle revenait maintenant de la salle de bains avec quelques objets qu’elle étala sur le lit. Elle glissa ses deux index sous le bord de la culotte d’Isabelle : — Il nous faut enlever cela, dit-elle d’une voix tremblante d’excitation. Isabelle s’était allongée sur le lit et souleva les fesses pour que Sylvie puisse lui ôter son slip. Elle se plia gracieusement à la douce traction de Sylvie qui lui écartait les cuisses et offrit son épaisse toison sombre et bouclée au regard de son amie. — Je crois qu’il faut que tu saches, Isa, que je ne suis pas venue ici à la plage pour rien. Je ne veux pas que tout cela soit réservé seulement à nous deux… Si tu ne sens pas de toi-même, ...
    ... il faudra que je te force à te montrer dans ta toute nouvelle splendeur, dit Sylvie d’une voix qui se voulait sur le ton de la plaisanterie, mais dont les accents étaient fermes. Elle empoigna de sa main droite les ciseaux chromés. Isabelle sentit un moment le froid du métal alors que Sylvie manœuvrait l’engin sur son mont de Vénus. Elle entendait les coupes plus qu’elle ne les sentait. Elle avait fermé les yeux et tenait maintenant les cuisses très écartées, une main sur chaque genou. Après que Sylvie eût parcouru à plusieurs reprises avec ses ciseaux l’entrejambe d’Isabelle, elle balaya de la main les mèches coupées. Comme de petits nuages sombres, les boucles de la toison d’Isabelle glissèrent sur le lit et livrèrent un commencement de vue sur son mont de Vénus qui n’était plus maintenant couvert que par des poils de moins d’un centimètre. Sylvie était concentrée sur son travail et eut tôt fait de couper très courts tous les poils des grandes lèvres d’Isabelle, jusqu’à sa rosette. Isabelle soupira doucement lorsque Sylvie l’enduisit de mousse à raser qu’elle sentait un peu fraîche. — Fais-le à fond, Sylvie, murmura Isabelle. Rends-moi comme si je n’avais jamais eu de poils ! Sylvie sourit : — Bien sûr, qu’est-ce que tu croyais ? Et elle glissa doucement le rasoir sur la peau d’Isabelle, laissant parfaitement lisses les endroits où les petits poils gâchaient encore le tableau. Bientôt le mont de Vénus d’Isabelle se trouva parfaitement lisse au-dessus et des deux côtés de sa ...
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