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Quand la passion rend folle
Datte: 09/03/2021, Catégories: ff, Oral 69, Lesbienne
... bonheur en retrouvant son goût qui m’avait tant enivrée lors de notre première étreinte. Anna ondula sur son lit et je compris que la belle se caressait les seins tandis que je la butinai. J’imaginais ses globes lourds pressés, malaxés pour son plus grand plaisir et le mien. Notre corps à corps devenait si intense que, gênée par mes vêtements et malgré son interdiction initiale, je me débarrassai tant bien que mal de mon chemisier et de ma jupe. Seul le soutien-gorge tenait encore en place pour le moment… N’y tenant plus je voulais profiter un maximum de la situation et me tournai dans la position du 69 offrant mon sexe à la vue de ma jeune maîtresse qui accepta cette offrande dans un grognement. Sa bouche retrouva rapidement le chemin de ma vulve vite investie par sa langue agile. Nous gémissions de concert la bouche pleine de jus odorant et de tissus sensibles. Anna défit mon soutien-gorge que je jetai au loin pour mieux frotter ma poitrine contre son corps. Plus rien de comptait : ni le travail, ni mon mari, ni les heures à espérer un signe de ma blonde adorée. Cette nana me rendait folle et je profitais du peu qu’elle m’offrait en l’occurrence à ce moment présent de sa vulve dégoulinante que ma langue et bientôt mes doigts pénétrèrent avec vigueur, frottant contre la paroi finement rugueuse de son vagin. Anna grogna de plus belle et me lécha avec un appétit accru, aspirant mes lèvres légèrement pendantes et molles. Son bassin venait maintenant largement à la rencontre de ...
... ma main crispée à force de s’agiter pour lui faire rendre les armes… Mon application fut récompensée lorsque la belle blonde cria de plaisir abandonnant pour le coup mon sexe trempé pour jouir le corps si cambré qu’elle me souleva dans le même mouvement. Le calme revint dans sa chambre baignée de soleil. Seules nos respirations brisaient le silence de midi, propre aux immeubles aux occupants actifs absents à ce moment de la journée. La belle blonde avait joui si intensément qu’elle semblait oublier l’état dans lequel je me trouvais… Je lui rappelai dans un murmure. — Fais-moi jouir, Anna…— Humm coquine, tu en redemandes ! se moqua-t-elle d’une voix rendue plus douce par l’orgasme. Je la sentis ouvrir un tiroir et au bourdonnement caractéristique je reconnus le bruit d’un vibromasseur. Je frémis, la croupe offerte pour ce sextoy inconnu, mais bienvenu. Anna ne me fit pas languir et commença à frôler mes lèvres pour une première d’une longue série d’ondes de plaisir. Elle mania ce vibro avec une virtuosité témoignant d’une pratique maîtrisée. Je gémissais sans discontinuer, affolée par cet objet inerte pourtant doué de qualités indéniables. Il frôlait mon clitoris le faisant vibrer comme un diapason puis s’aventurait vers mon anus vierge (enfin presque…) pour finalement finir son œuvre en puissance dans mon vagin défoncé à la force du poignet de ma maîtresse. Je jouis à nouveau et retombais sur son corps doux, épuisée par ce nouvel orgasme. Anna se dégagea plus tard et se colla ...