1. Avec ascenseur


    Datte: 11/03/2021, Catégories: fh, fplusag, voisins, piscine, entreseins, Oral pénétratio, confession,

    ... avant. Elle voulait écouter les voisins. Ce sont eux qui vont se régaler s’ils en ont le temps. Je la baise. Longuement. Profondément. Avec force. Avec une violence qui sied à des amours infidèles, a des amours presque incestueux. C’est elle qui gémit. C’est elle qui se balance en appui incertain avec les anneaux. La grande glace nous montre. Merci la cabine spéciale. Elle, se balançant sous mes coups, les seins battant le rythme, la croupe insolente, les jambes incertaines. Et moi, droit, vaillant, la bite s’activant, les reins en actions, les doigts crochetés maintenant sur les fesses. Que c’est bon de bourrer cette cochonne. Il y a deux jours, je la prenais pour une vieille. Là, sous mes coups, c’est une femme qui gronde. Une femme libre, libertine que j’ai découverte par hasard. Tiens, je n’entends plus l’eau couler. Les voisins auraient-ils déjà fini ? Non, ou alors ils auraient été rapides. À moins qu’ils aient entendu. Il est vrai que Martine n’est pas une silencieuse. Je ne compte plus c’est « C’est bon » les « Oui », les cris, les gémissements. Il n’y a rien de plus beau à mon oreille, l’oreille d’un homme qui pourrait se sentir intimidé devant tant de vice et d’expérience, mais qui pourtant mène le jeu. Ah, la salope ! Quel cul ! Quelle chatte ! Quels seins ! J’aime l’entendre m’encourager par ses « Continue », « Encore ». J’aime le bruit de mon ventre qui claque son cul. J’aime même ce grincement des crochets au plafond, les crochets qui supportent tout le poids ...
    ... d’une pute en chaleur. Tel est pris qui croyait prendre. Voilà ce qui me vient à l’esprit. Elle pensait espionner le couple. Ce sont eux qui doivent avoir l’oreille collée à la cloison ! Et qui est prise ? Toi, Martine, couche-toi-là avec n’importe qui, bien que je ne sois pas « n’importe qui ». Je suis ton voisin, ton confident, comme si on se connaissait depuis longtemps. Et que connais-tu de moi ? Et que connais-je de toi ? Ta chatte est un gouffre où je me vide, non sans avoir eu le plaisir d’entendre que tu jouis et me supplies presque d’en finir tellement je t’ai astiquée. Il est où le bonheur ? Il est où ? Mais ici ! Dans cette cabine un peu glauque ! Le bonheur c’est aussi d’entendre Martine me dire, après un baiser léger sur mes lèvres « Tu m’as comblée. Merci ». Il y a des compliments qui pèsent plus que d’autres. Comme il y a des sourires « entendus », et le mot est parfaitement adapté, que le comparse d’à côté nous gratifie sur le parking. Par contre, comme on dit après un shoot : l’atterrissage est brutal. Le reste de l’après-midi, je n’arrive pas à travailler. L’homme conquérant, amant reconnu, apprécié, se transforme en compagnon qui se sent coupable. Infidèle. Pauvre Lise. Elle n’a pas mérité un tel traitement. Lorsqu’elle rentre, je me sens encore plus minable. Une telle beauté. Une telle confiance. Un amour si grand ! Si je la surprends par une tendresse particulière, elle n’en dit mot. Je suis plein d’attention. J’ai peur qu’elle sente sur moi l’odeur de ...