1. Avec ascenseur


    Datte: 11/03/2021, Catégories: fh, fplusag, voisins, piscine, entreseins, Oral pénétratio, confession,

    ... Oui, merci. Donc, je disais, Martine que je voulais m’excuser pour hier. J’ai bien peur de vous avoir causé des ennuis. Je n’aurais pas dû parler à votre mari.— Mais quoi donc ?— J’ai parlé de la visite de cet homme à votre mari. Je croyais que c’était quelqu’un de votre famille.— Non, nous n’avons pas d’enfants.— Il avait l’air fâché.— C’est exact.— Je m’excuse.— Vous êtes mignon, mon cher Louis. Et pour vous qui était ce jeune homme, s’il n’est pas de ma famille et que sa visite fâcherait mon mari ?— Oh, Madame, je…— Martine, appelez-moi Martine. Alors, qui était-il ?— Euh !… votre amant ?— Et si c’était le cas ? Vous seriez choqué ?— Cela ne me regarde pas.— Ça ne vous regarde pas, mais vous voudriez bien savoir. N’est-ce pas ?— C’est-à-dire que j’avais peur que votre mari ne soit violent en le découvrant. Elle éclate de rire. — Violent, Marc ? Mais c’est le plus doux des hommes. Le meilleur des maris.— Alors pourquoi ?— Mais le plaisir, jeune homme. Vous croyez que parce que nous sommes à la retraite, le plaisir est un souvenir. Au contraire, nous avons tout le temps pour l’organiser.— Ah ! Mais, un amant…— Justement. L’organiser. Découvrir des sensations nouvelles, des situations différentes, des complices. Je vous choque ?— Euh ! C’est-à-dire que je ne pensais pas cela.— Vous êtes jeune, très jeune. Dites-moi, cela fait combien de temps que vous êtes ensemble avec Lise ?— Trois ans.— J’imagine que vous avez connu d’autres femmes avant elle.— Oui.— Et elle ?— Aussi.— ...
    ... Moi, avec Marc, nous sommes mariés depuis quarante ans. Eh oui, quarante années ! Et avant mon mariage, je n’avais connu personne. Marc avait plus d’expérience.— Je comprends.— Tu ne comprends rien du tout. Comment crois-tu qu’un couple sans enfants puisse rester soudé pendant toutes ces années ? L’amour avec un grand À s’érode. Reste la tendresse. Le plaisir de la chair s’étiole aussi avec le temps. C’est un combat permanent contre la lassitude. Je suis surpris du ton, mais aussi du tutoiement. La femme semble soudain gênée. — Je ne sais même pas pourquoi je te raconte tout cela. Je suis folle de me confier à toi. On ne se connaît pas et ce n’est pas ce que… Elle ne termine pas sa phrase. Elle me regarde. — Je ne dirai rien à personne. Rassurez-vous. Elle me sourit. — Merci. Merci de t’être inquiété pour moi. J’ai soif. Tu n’as pas envie d’un petit alcool. Un digestif, tiens. Marc a une poire très parfumée. Tu veux ?— Si vous voulez. Elle se lève. Je la regarde évoluer. Chercher les verres. Les alcools. Me servir. Se servir. Hier, c’est une voix que j’ai entendue. Aujourd’hui, je peux vraiment relier la voix et la femme. En toute rigueur c’est encore une belle femme. On devine ses rondeurs. Sa robe lui souligne les hanches et les fesses. On devine même la trace de sa culotte qui semble plus tenir du string que de la culotte de grand-mère. Quant à sa poitrine, lorsqu’elle se penche pour me servir le haut des deux lobes semble encore ferme. Il me faut peu d’imagination pour la ...
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