1. Avec ascenseur


    Datte: 11/03/2021, Catégories: fh, fplusag, voisins, piscine, entreseins, Oral pénétratio, confession,

    ... une chose est certaine : Lise avait certainement eu beaucoup d’hommes avant moi. Au début de notre rencontre, elle a été « assez sage », et sans être totalement passive, me laissait les initiatives. Et puis, à mesure que notre relation s’affirmait, elle s’est libérée. C’est plus tard que j’ai compris combien elle m’avait aimé dès notre première rencontre. Craignant de passer pour une « salope » et m’effrayer, elle avait caché son expérience du sexe. C’est seulement plus tard, rassurée sur mes sentiments qu’elle s’est laissé aller. Le bonheur. Sa chatte à un goût un peu fort et j’aime cela. Allongée sur notre lit, elle se cambre pour que je la lèche, que j’extraie son clitoris de sa protection pour l’aspirer entre mes lèvres et le caresser de la langue. Lise a toujours été « bavarde » pendant l’amour, mais aujourd’hui ses paroles prennent une nouvelle amplitude. Les « Oui, oui, comme ça » me paraissent plus forts et je sais maintenant que les murs ont des oreilles. J’ai entendu le mari rentrer il y a bien longtemps. Sa femme lui a sûrement parlé de moi, de ma venue, de ses confidences. Sont-ils déjà « espions » de ce qui se passe dans notre chambre. — C’est bon, C’est bon ! Entendez-vous ma Lise me guider, avouer son plaisir ? Êtes-vous là, silencieux, pervers qui espionnez vos voisins pour aiguiser votre sexualité. — Continue, continue, Louis, c’est bon. Martine m’a jugé bon amant et dit : « Ah la jeunesse. Quelle vigueur ». Elle doit le constater encore. Son mari, ses ...
    ... amants passés, son amant hier, sont-ils capables de la faire jouir comme je le fais pour ma copine. — Je viens. Je viens ! Qu’elle est douce cette musique alors que des mains pressent mon visage contre la minette, que soudain la chatte se mouille encore plus, ajoutant son jus à ma salive. Je me redresse et comme toujours, j’embrasse Lise partageant avec elle nos humeurs. Baiser cochon, langues vicieuses qui bataillent. Une main se saisit de ma verge. Elle est dure comme toujours. Je bande toujours très dur et Lise aime beaucoup. Une fois, alcoolisée, elle avait dit : — Je préfère une verge bien dure à une verge plus molle même si elle dure plus longtemps. Un instant j’ai pensé que je ne durais pas assez longtemps pour elle. C’est vrai que la première fois, je suis tellement excité que je peux venir un peu vite, mais les suivantes, une fois la pression évacuée, sont « sous mon contrôle ». — Prends-moi, mon amour. Elle est belle, me suivant du regard, conservant mon vit dans sa main pendant que je m’installe. Les cuisses sont déjà ouvertes et la main me guide. Je tombe. Le gouffre est sans fin. Les parois sont humides et elles m’enveloppent de leur douceur. Voilà, je suis en elle. Elle m’est grande ouverte. Elle est à moi, rien qu’à moi. Aucun autre homme ne peut me la prendre. Elle m’aime. Martine a tort. En tout cas, nous n’avons pas besoin d’artifices pour baiser et jouir. Pas comme vous ! Écoutez, écoutez comment un jeune couple se donne ! Entendez-vous ma vigueur ? Nos chairs ...
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