Histoire de Valérie Partie 1
Datte: 11/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
... stimulus d’une autre personne. Voyant que je ne pouvais me détendre, je me drapai dans la serviette maintenant humide et sortis du hammam, direction les vestiaires. Les lieux toujours vides, je pris le peignoir, jetais la serviette maintenant inutile, accrochais le peignoir à un porte-manteau et me dirigeai dans les douches. L’eau était plus froide que ma peau et cela me fit du bien. Mon excitation inexpliquée me quittait et bien qu’à la sortie de la douche j’avais toujours les tétons dressés, c’était à cause du froid. Alors que je me dirigeai vers le peignoir, la porte s’ouvrit sur une femme en tailleur. Elle resta devant l’embrassure de la porte à me regarder. Une fois l’effet de surprise passé, je me jetais dans mon peignoir, et partie vite fait me changer les yeux fixés au sol pour ne pas croiser le regard de l’intruse, qui, par ailleurs était rentrée et commençait à se changer. Je m’habillais dans la précipitation, sans mes sous-vêtements que je plaçais dans les poches de mon peignoir et quittais la pièce. Avant de refermer la porte derrière moi, je lançais un petit « désolée » et la personne me répondit presque du tac-o-tac « mais il n’y a pas de quoi ». C’est une fois dans l’ascenseur, que je m’aperçus que la femme m’avait répondu en français, et sans accent. C’était bien ma chance, une française nue démasquée par une autre française dans un hôtel New-yorkais. Je regagnai ma chambre, commandai au room-service un repas léger. Une fois rassasiée, je m’allongeai sur le ...
... lit et glissai dans un doux sommeil. Je me réveillai à 21h30. La télévision ne passait que des talk-shows américains, des documentaires à la gloire des américains et des clips musicaux vulgaires où des rappeurs balancent des liasses de dollars à des filles dénudées. Comment pouvait-on laisser ce genre d’images machistes ? J’éteignais la télé et descendis au bar. Je m’assis au bar et commandai un bloody Mary. Il était très bien dosé, bien épicé et bien alcoolisé. Cette première gorgée réveilla le souvenir de mon aventure de l’après-midi, et je souris d’avoir été aussi idiote. Alors que je buvais tranquillement mon cocktail, une femme s’assit près de moi et me dit :- « Re-bonjour, ou plutôt bonsoir »Je faillis m’étouffer avec ma boisson en reconnaissant la femme du vestiaire.- Heu… oui, re-bonjour, répondis-je sans pouvoir empêcher mes joues de rougir.- Je n’ai pu m’empêcher de remarquer que vous étiez comme moi, française et je me suis dis que ‘l’on pouvait faire connaissance non ?- Heu, … oui si vous voulez, pourquoi pas ?- Ah, au fait, j’ai votre petite culotte, disant ceci, elle me tendit le slip noir que je portais ce matin. Elle est tombée lorsque vous êtes partie précipitamment tout à l’heure. »Je lui arrachai des mains mon slip et l’enfouis profondément dans la poche de mon jean, et mes joues repassèrent directement à l’écarlate.- « Ne soyez pas gênée, ne vous en faites pas j’ai l’habitude ?- L’habitude ?- Oui, je me présente Amélie C. journaliste de mode, spécialisée ...