Maison d'hôte à la montagne (4)
Datte: 11/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... regarde en direction de ma poitrine, je lui lance un regard interrogateur, puis je m’aperçois que mes tétons pointent fièrement. Le froid ne doit pas être innocent à cette réaction. Sa main droite glisse par-dessous mon haut de maillot de bain, la chaleur de cette dernière me provoque la chair de poule puis il commence à l’activer en me malaxant le sein. Je ne peux m’empêcher de faire un soupir de bonheur, c’est vrai que le paysage est exceptionnellement beau, et qu’il prête à ce genre de pratique. Qui n’a jamais rêvé de faire l’amour en pleine nature, d’être en totale osmose avec l’environnement qui nous entoure ? Il continue de malaxer ma poitrine qui est nue à présent, il la lèche, l’aspire, la gobe même parfois, puis délicatement ma main part en direction de son sexe que j’imagine tendu de désir. Son jogging un peu ample me permet d’y accéder sans trop de difficultés. Je le caresse, le masturbe, puis fait glisser les élastiques de sa tenue au niveau de ses genoux. Tandis que les miens sont de part et d’autre de son visage. Je sens qu’il écarte ma culotte de bain, et qu’il commence à me faire un cunnilingus comme il sait bien les faire. Au bout de quelques instants, je me positionne au-dessus de sa verge, puis il me prend au plus profond de mon vagin. J’essaye d’accélérer les mouvements, mes fesses claquent contre le bas de son ventre, puis Olivier m’invite à m’allonger sur le dos. Ses coups sont puissants, il ne me perfore pas comme Benoit, mais me procure tout de même ...
... du plaisir. Il faut malgré tout accélérer la cadence, car ça serait quand même troublant d’être pris sur le fait accompli par les deux frères. Je me mets à lécher ses tétons, à les humidifier avec mes doigts afin de le faire vaciller, ce qu’il ne tarde pas à faire, puisque je reçois des jets de sperme dans mon vagin. Nous nous rhabillons rapidement, et comme de part enchantement, Benoit et Antonin font leur apparition à ce moment-là, je me demande même s’ils n’ont pas joué les voyeurs, mais bons l’heure n’est pas au règlement de comptes, mais à celle du déjeuner. Ils ont pris des sandwichs avec du jambon de Bayonne, du beurre, quelques tranches fines d’un fromage espagnol et en boisson des bières. Nous mangeons à la bonne franquette comme on dit, nous bavardons de tout et de rien. Je suis d’ailleurs surprise par la discrétion de Benoit. Il est bientôt quatorze heures, et comme par habitude mon époux va effectuer sa sieste. J’insiste un peu pour qu’il ne la fasse pas, mais il n’en fait qu’à sa tête. Il a des habitudes d’anciens comme il aime dire. Il se recule un peu du bord de la rivière, puis se pose à proximité des chevaux avec sa serviette. Antonin a décidé de se baigner, tandis que Benoit est resté proche de moi. Nous discutons brièvement, il avoue avoir pris un pied énorme hier soir lors de notre partie de jambes en l’air, je suis un peu gênée, mais je lui admets que j’ai aussi pris du plaisir. Il me demande si je lui en veux, et lui réponds simplement que c’est le destin ...