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Chevauché et dompté par ma copine
Datte: 12/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
... désarçonner, en vain. L’entrave aux chevilles me limitait et la corde me faisait me braquer quand je bougeais trop. Plus je me débattais, plus ses coups de reins étaient puissants. [plaintes et hurlements inintelligibles] C’est ça, hurle tant que tu veux ! Je vais te mâter, mon amour ! Je vais te dresser à faire ce que j’aime ! Elle continuait à me sodomiser sans se fatiguer tandis qu’à force de gigoter, moi je me fatiguais. Voyant que je ne me débattais plus, elle a commencé à me parler doucement tout en ralentissant la cadence des pénétrations. Oui voilà, doucement, calme-toi… Ca ne sert à rien de te débattre… Laisse-toi faire… Sois docile et tout ira bien… Epuisé, je me calmais. Je sentais toujours ce sexe en plastique me pénétrer mais la vive douleur du début se transformait en plaisir. Je commençais même à gémir de plaisir en sentant le substitut de sexe glisser en moi et en me sentant sous l’emprise physique de ma copine. Elle a constaté que je prenais du plaisir et elle a repris un rythme de plus en plus rapide et les pénétrations redevenaient très profondes. J’accompagnais désormais ses mouvements de bassins pour mieux sentir la pénétration. C’était désormais des râles de jouissance qui sortaient de ma bouche. Elle, était pantelante de plaisir. C’est ça oui ! Je savais que je te materai ! Tu vas aimer de plus en plus de te faire monter ! Elle tirait régulièrement sur la corde pour me faire cambrer ; la corde m’empêchait de fermer la bouche et la salive coulait de ma ...
... bouche. Allez maintenant c’est le moment de jouir Elle continuait ses mouvements de bassins et j’ai senti un liquide se répandre en moi par saccade. Je constaterai plus tard qu’il s’agit d’un gode ceinture avec fonction éjaculatrice. En sentant cette éjaculation en moi, j’ai joui sur le matelas. Mon corps était crispé de plaisir. La réserve de faux sperme était importante ; je sentais une dizaine d’éjaculations, espacées de quelques secondes, provoquant en moi une décharge électrique à chaque fois. A 4 pattes sur le lit, je sentais mon sexe se vider sous moi. C’est bien mon bébé ! Tu vois que tu as aimé ! Tu as aimé quand ma semence t’a engrossé ! Je me suis écroulé sur le lit, à plat ventre ; elle était toujours en moi mais immobile. Elle m’embrassait la nuque et le dos. Elle était redevenue très douce. Voilà c’est fini. A partir de maintenant, c’est ainsi qu’on fera l’amour. Tu ne me pénètreras plus jamais et je te saillirai quand il me plaira. C’est comme ça que je vais t’aimer désormais : à quatre pattes comme un animal et tu m’obéiras. Tu es mon animal de compagnie, n’est-ce pas mon amour ? Elle m’a fait me retourner sur le dos. Elle s’est assise sur mon bassin et je voyais ce sexe énorme me faire face. Elle a masturbé ce faux pénis puis a appuyé sur une sorte de poire et plus de faux sperme en est sorti et a attiré sur mon visage ; j’en étais recouvert. Elle me disait vouloir marquer son territoire et a porté le gode sur mon visage pour l’y frotter. Je sentais ce gode si ...