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Une maison d'ôtes bien garnie. 3ème partie.
Datte: 12/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
(Nota… certains pourront trouver que cet épisode tourne court… Hélas, l’antillaise qui devait m’aider pour les dialogue en créole m’a laissé en plan après le premier volet…) Lorsque je me suis réveillé après presque 24 heures de sommeil, je me sentais tout ragaillardi. Je me sentais en pleine forme et comme pratiquement tous les matins, cela se manifestait par une bandaison naissante qui soulevait le drap… J’avais faim et le plateau du petit déjeuner que m’apportait une des pensionnaires de Dame Ernestine avait de quoi me rassasier… mais ce qui m’a le plus intéressé (je suis incorrigible…) c’est cette jeune femme qui portait le plateau et qu’elle a posé sur une petite table près de la fenêtre. Elle m’a semblée très jeune, une véritable reine de Saba… avec déjà des formes pleines… une poitrine juvénile déjà bien formée prise dans le haut du paréo, une taille souple et fine et des fesses faites au moule sous la cambrure qu’elle semblait accentuer volontairement lorsqu’elle me tourna le dos brièvement… Elle avait la tête rasée… de grands yeux marron en amande, le nez un peu épaté et des lèvres ourlées qui lui faisaient une bouche très sensuelle. Décidément les petites pensionnaires de Dame Ernestine étaient toutes très jolies et je comprenais maintenant ce qu’Isabelle voulait dire… En fait, ces jeunes femmes étaient là pour satisfaire la libido des clients de la maison d’hôtes. C’était une sorte de lupanar qui ne voulait pas dire son nom ! Lorsque la fille se retourna vers moi, ...
... elle remarqua aussitôt la bosse sous le drap. • Monsieur, je suis là pour vous servir en tout ce que vous voulez… et je vois ce que vous voulez ! • Et je veux quoi ? • Mais que je soulage ce qui pointe sous le drap ! • N’es-tu pas trop jeune pour un homme comme moi ? • Mais… j’ai plus de 18 ans… Cette fille avait presque le tiers de mon âge et elle s’offrait, d’une manière totalement impudique, de me soulager… • Bien… montre moi ce que tu sais faire ! Elle s’est approchée et a rejeté le drap au pied du lit… Comme d’habitude, je m’étais couché nu et mon sexe pointait allégrement au dessus de mon pubis. La demoiselle m’a enjambé, un peu comme si elle enfourchait un cheval et, dans un mouvement souple elle a ôté son paréo pour m’apparaître dans la splendeur de sa nudité… totale puisque son pubis était aussi rasé que sa tête ! Elle s’installa à califourchon, écrasant mon sexe contre le sien. Face à moi, elle a fait glisser mon sexe sur le devant du sien et a entrepris une danse lubrique, faisant aller et venir ma bite entre ses lèvres intimes que je sentais de plus en plus humides… Elle allait d’avant en arrière pour me masturber d’une manière savante que je ne connaissais pas ! Ses seins bien fermes dansaient devant moi et je n’ai pas manqué d’aller titiller les tétons à peine marqués du bout de mes doigts… Cette danse lubrique me mettait en joie… Peut-être n’avait-elle pas envie d’une pénétration… une masturbation mutuelle suffisait peut-être et moi, je sentais la sève monter… ...