LE CHANTIER (31)
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Nous venons de passer une soirée mémorable dans la maison héritée de Pierre ou avec les louves, nous avons reçu les promoteurs hollandais cherchant à implanter une usine de retraitement de déchets verts. La façon dont les filles se sont dépensées est admirable surtout l’initiative de Nadia les ayant fait descendre dans la cave où ils se sont fait même prendre des coups de cravache avant de finir dans le Jacuzzi. Je suis tellement satisfaite de la bonne impression que nous leur avons laissé à en oublier Eliane attachée sur le lit où Sylvain a réussi à l’isoler afin que Nadia ait les coudées franches avec Willem qui semblait focaliser sur notre amie. C’est en peignoir que discrètement étant réveillé de bonne heure, je décide d’aller la voir, car elle doit se morfond, après que Sylvain lui est mis une petite charge qu’elle a semblé appréciée, elle est seule et doit nous en vouloir. Dès que j’arrive devant la porte d’une des chambres du premier ou par les caméras, j’ai vu notre couple s’isoler, Eliane attachée par les poignets et par les chevilles me regarde m’asseoir près d’elle. • Valérie, détache-moi, j’ai compris la leçon, jamais plus je n’accaparerais Nadia. Tu sais que j’ai été amoureuse d’une jeune fille qui s’appelait Flavie et que Pierre m’a aidé à me sortir du mauvais pas ou je m’étais mise avec ses parents. J’ai retrouvé dans Nadia des airs de cet amour féminin et j’ai peur de la perdre une nouvelle fois. Hier lorsque cet homme a commencé à tourner autour d’elle, ma ...
... jalousie m’a poussé à me rapprocher d’eux. Depuis mon entrée, aucun son n’est sorti de ma bouche. Seul mon regard lui montre le degré de mon courroux aussi pour éviter qu’Eliane nous porte du ressentiment, je penche mon visage vers sa chatte offerte à ceux qui veulent l’honorer, les bracelets qui lui attachent ses pieds et ses poignets l’empêchent de bouger. J’ai la possibilité de me servir d’une de mes mains comme je suis placé aussi, je saute sur le lit pour venir dans sa fourche. Ainsi placé sans la quitter des yeux, j’approche mes lèvres de son calice pour boire à sa source. Dès mes premiers coups de langue, Eliane se tord dans ses liens, car le plaisir monte rapidement en elle. • Oui, Valérie suce-moi bien, j’ai attendu toute la nuit que l’on vienne me punir. Si au départ je voulais qu’elle comprenne le courroux que j’avais pour une louve ayant trahi notre cause, si je reste muette, c’est parce que ma bouche est très attentionnée au plaisir qu’elle donne à notre vilaine fille. • Dommage que mes fesses soient protégées de la portée de ta main, j’aurais aimé que tu me les rendes toutes rouges par la fessée que j’ai largement méritée. Après mes lèvres, c’est ma langue qui file au fond de sa chatte, il faut que j’achète des boules à bouche pour étouffer les cris de plaisir qu’elle émet à la cantonade. Espérons que Pierre a prévu une bonne épaisseur de murs afin que les passants dans la rue ne s’inquiètent de qui est égorgés. Je continue à la lécher, la pénétrer avec ma langue, ...