Business à Barcelone - 4/7
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
voyage,
amour,
cérébral,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
portrait,
totalsexe,
... dessus pour la culbuter sans autre forme de procès, lui demandait un réel effort de self-control. Sans interrompre leur baiser, ses mains abandonnèrent la poitrine d’Isabelle pour rapidement se glisser dans son dos et, par des mouvements habiles, rapides, fruit d’une longue expérience en la matière, faire descendre la fermeture éclair de sa robe… Cette initiative de François ne fit qu’intensifier l’excitation d’Isabelle, car lentement mais sûrement elle sentit sa robe glisser le long de son corps, sans esquisser le moindre geste pour la retenir, jusqu’à former un cercle de tissu à ses pieds. La brise légère sur sa peau lui fit alors prendre pleinement conscience de sa quasi-nudité, impudiquement offerte à la nuit barcelonaise. Elle n’en ressentait pas le moindre soupçon de honte, trop fière de son corps et la nudité pour cela. Elle frissonnait, mais pas de froid, uniquement de désir et d’excitation. Son attention revint rapidement sur le corps de sa partenaire dont il sentait pleinement les formes au travers de la lingerie fine qui la couvrait encore. Il distinguait parfaitement ses tétons érigés de désir au travers de la dentelle et il s’amusait à les titiller, les agacer, les pincer délicatement, provoquant à chaque fois chez Isabelle un gémissement étouffé. Son autre main, crispée entre les cuisses de sa Maîtresse, s’employait avant tout à la maintenir fermement pour ne pas qu’elle s’échappe et, accessoirement, pour frotter lubriquement sa virilité contre sa chute ...
... de reins. François sentit qu’Isabelle attendait qu’il la guide, et était prête à aller plus loin, ce qui fit monter son désir en flèche. Il prit ses petites mains pour les accrocher au rebord de la terrasse, et du bout du pied lui écarta ostensiblement les jambes telle une prisonnière consentante. Puis, histoire de tester la portée de son ascendant, l’invita à se cambrer et à onduler lubriquement ses hanches de gauche à droite, de droite à gauche. Les souvenirs des années londoniennes envahirent ses pensées… Les talons plantés au sol, Isabelle perdait le contrôle. Poursuivant son initiative, l’Amant agrippa le frêle corps par les hanches, glissa des deux côtés ses pouces dans le bout d’étoffe qui couvrait encore sa croupe et tira d’un geste sec. Le tissu céda, arrachant à Isabelle un bref cri aigu dont on n’aurait su dire s’il exprimait la surprise ou le ravissement. Mais le langage corporel de la jeune femme frémissante ne laissait pas la place au moindre doute quant à la réalité de son consentement total. La dentelle, devenue maintenant totalement inutile, tomba au sol. L’exposition à la vue de son Amant de la partie la plus charnue de son anatomie ne réprima nullement le désir d’Isabelle dont les sens étaient maintenant en feu. Bien au contraire. À cet instant précis elle se sentait belle, désirable, une princesse. Mais en même temps, perchée sur ses talons aiguilles, vulgaire comme la dernière des catins. Et cette dualité l’excitait prodigieusement. — Oh François ?… ...