Business à Barcelone - 4/7
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
voyage,
amour,
cérébral,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
portrait,
totalsexe,
... attrapa Isabelle par les cheveux, fermement, mais sans brutalité, et enfonça sa queue entre les lèvres entrouvertes. Isabelle n’attendait que ça… Elle accueillit avec délice la queue tant désirée et la suça avec une gourmandise non dissimulée. François continuait à diriger, oui, mais sa Maîtresse avait bien l’intention de lui montrer toute l’étendue de son talent. Son Amant imposait le rythme de la fellation, testait sa partenaire, cherchant ses limites. Mais Isabelle semblait ne pas en avoir et finit par démontrer que la technique de la gorge profonde n’avait pas de secrets pour elle. Le tout avec un regard interrogateur de fausse ingénue, mais vraie vicieuse, qui semblait demander à son homme : le fais-je bien ?… François n’en revenait pas. La bouche d’Isabelle était savoureuse, délicieuse, sa langue s’activait avec précision, il était prodigieusement excité, mais ce n’était pas uniquement une question de technique, c’était aussi une question d’attitude. C’était surtout par son comportement surprenant et inattendu qu’elle le rendait fou. Cette petite se débrouillait très bien… Versaillaise coincée ? Allons donc ! Une sacrée bonne suceuse oui, la meilleure tailleuse de pipes qu’il ait connue. Tellement bonne qu’il perdit le contrôle. À moins qu’il eût décidé de se lâcher volontairement ?… Toujours est-il qu’il rejeta la tête en arrière et que sa sève monta dans sa hampe pour gicler puissamment, abondamment, arrachant au mâle triomphant un long soupir de contentement, de ...
... volupté, de soulagement. Il maintint Isabelle en lui jusqu’à la fin, tandis qu’elle déglutissait à petites gorgées le fruit de l’orgasme de son Amant. Le tout sans cesser un seul instant de surveiller le visage de François. Un sourire inondait son visage tandis que l’image de ce qui venait de se passer s’imprimait dans son esprit, en particulier son regard vicieux.Si ça c’est pas des yeux qui sentent la bite, je ne m’y connais pas, pensa-t-il vulgairement… Il la relâcha enfin, ce qui lui permit de respirer plus à son aise et de lui octroyer le plus reconnaissant de ses sourires. Il l’invita à se relever et la prit dans ses bras, comme une princesse, la plus indécente des princesses. À tour de rôle ils avaient laissé l’orgasme ravager leurs corps respectifs comme s’il ne devait plus y avoir de lendemain, le regard planté dans les étoiles, avec la nuit barcelonaise comme seul témoin de leur étreinte… Isabelle se blottit tout contre lui, elle adorait ces moments qui suivaient la délivrance pendant lesquels elle sentait encore le corps de l’autre tout contre elle (ou dans elle…), qui continuait à frémir et à vibrer. Ils rentrèrent et François la déposa délicatement sur le lit, tandis qu’il filait faire un brin de toilette. Pendant qu’il passait sous la douche, il songeait à l’étreinte passée avec la satisfaction du devoir bien accompli, au moins égale à celle qu’il ressentait à la signature d’un gros contrat.Ouais, j’ai bien taffé, pensait-il sans le moindre soupçon de modestie. Car ...