1. Pauline - Années étudiantes (17)


    Datte: 30/10/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Chapitre 17 Je ne voulais pas de l’argent d’André. Ca me donnait l’impression de n’avoir été qu’une pute de luxe... Une pute qui facturait très très cher. J’ai donné le chèque à mon père. Il l’utilisa pour rembourser le prêt de sa nouvelle maison et payer une bonne partie des travaux restants. Il allait pouvoir respirer un peu mieux. Mais, ma mère restait en dette vis-à-vis de lui, et indirectement avec moi. J’ai réussi à l’avoir au téléphone. Nous nous sommes engueulées. Elle avait d’abord voulu me faire croire que c’était mon père qui mentait. Puis, elle me dit qu’elle n’avait déjà pas assez d’argent pour elle-même. Ca énerve d’entendre ça : • Tu n’es qu’une sale égoïste, maman ! • Comment oses-tu dire ça ? Je pense tout le temps à toi. Et ce n’est pas de ma faute si tu habites si loin et qu’on ne peut pas se voir. Ca fait des frais que je ne peux pas supporter. • Tu penses toujours à moi ? Quel est la date de mon anniversaire ? • Allons Pauline, ne joue pas à ça... Je la connais très bien. • T’es en train de gagner du temps pour consulter ton agenda. Pourquoi m’as-tu appelée trois semaines après mon dernier anniversaire ? • Mais, je te l’ai dit. Je ne pouvais pas, j’étais en Thaïlande à ce moment-là. • Et Noël ? T’étais où ? Comment arrives-tu à te payer tous ces voyages ? On est début Février et c’est la première fois que j’arrive à te joindre au téléphone depuis Septembre dernier ! La conversation était devenue de plus en plus tendue et elle s’est finie par "N’essaie ...
    ... plus de me contacter tant que tu n’auras pas remboursé mon père jusqu’au dernier centime. En attendant, je ferais comme si je n’ai pas de mère !". Elle versa 100 euros le premier mois, de même le mois suivant, puis, plus rien... Nous étions ainsi début Février, et je venais d’emménager dans un petit studio de 15m² appartenant aux parents de JC. Il avait été en travaux pour remise à neuf, et les murs sentaient encore la peinture fraiche. Mon père avait moins de problèmes financiers, j’aurai pu prendre plus grand, il me le proposa même, mais ça me suffisait largement. JC avait espéré que je reste chez lui. Il commençait à penser que nous étions un couple, comme tous les élèves de l’école d’ailleurs. Ca pouvait effectivement y ressembler : nous mangions toujours ensemble, nous nous occupions du linge de l’autre, nous partagions les courses et les frais, nous n’avions aucune pudeur l’un pour l’autre et nous baisions quasiment tous les jours. Il respecta sa règle de ne pas me toucher tant que ce n’était pas moi qui le lui demandait. Je voyais bien dès qu’il en avait envie. Je lui faisais croire... Je simulais... C’était pour lui faire plaisir. Mais, je n’ai jamais eu réellement de besoin. Malgré tout, sa présence allait me manquer. C’était tout de même agréable de l’avoir à mes côtés, qu’il ait des attentions pour moi tel que me préparer un bon petit repas de temps en temps ou me faire couler un bain avec plein de mousse. Ce n’était pourtant que superficiel, je pouvais jouer la ...
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