Ma première patronne
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
grosseins,
fsodo,
Oral
... Qu’est-ce que j’aurais aimé arrêter le temps pour aller lui remonter sa petite jupe, pour savoir si ce nylon qui les habillait étaient bien des bas et pas un vieux collant ! Ses hanches et ses fesses étaient plutôt larges et sa petite jupe les moulait bien ; malgré tout, tout le garage les matait quand elle avait le dos tourné ! J’étais jeune et peu expérimenté de la vie, c’est pourquoi ses seins me paraissaient énormes ; en fait, après ses trois grossesses, ils accusaient un beau 100C ou 100D. Dès lors, même si son chemisier n’était légèrement ouvert que d’un ou deux boutons, j’essayais de ne pas en perdre une miette de mon regard mateur, mais pas téméraire : je n’en profitais que si elle ne pouvait pas s’apercevoir de mon voyeurisme. J’attendais les rares moments où, proche d’elle, elle se pencherait pour trouver je ne sais quel papier, et j’y plongeais tout mon regard. Mon poste de travail me plaisait bien. Après intégration parmi les trois autres mécanos, j’ai vite compris que la pauvre avait affaire à une belle bande de fainéants; je comprenais pourquoi elle voulait un bosseur et aussi pourquoi elle devait être aussi autoritaire pour se faire entendre. Les autres m’ont expliqué qu’elle était veuve depuis six ans et que, depuis, elle avait élevé seule ses trois filles tout en reprenant l’affaire du défunt ; ils me précisèrent aussi qu’auparavant, elle n’était pas si autoritaire et qu’elle avait pris la grosse tête. Dans son dos, ils n’arrêtaient pas de l’appeler "la ...
... grosse pute", "la salope", "la chienne"… En réalité – tout comme moi d’ailleurs – ils la mataient dès qu’ils le pouvaient, et ils en bavaient. J’avais même repéré le petit cinéma de Louis, un des mécanos, qui allait parfois se branler dans les toilettes après l’avoir matée comme un fou. Ses trois filles ne manquaient pas non plus de sobriquets salaces ; il faut dire pour le coup que celles-là étaient vraiment habillées comme des putes, et qu’elles prenaient un malin plaisir à se promener dans l’atelier en mini-jupe, tout en prenant des poses parfois érotiques afin de nous allumer, et elles y arrivaient. Mais elles n’avaient aucune classe, contrairement à leur mère. Par ailleurs, la cadette, qui m’avait proposé un rencard que j’avais refusé, avait dû être vexée et s’amusait alors à se désintéresser de moi : elle ne discutait plus qu’avec les autres tout en tournant son petit cul pour me narguer ; cela m’avait ennuyé un temps mais, bien que très jolie, elle n’était pas mon genre de femme : trop gamine, pas assez mûre… Déjà, il ne me restait plus que deux jours avant la fin de mon contrat. Franchement, bien que parfois déconcentré par mon voyeurisme envers ma patronne, je n’avais pas chômé durant ces six semaines. Le travail me plaisait et il m’occupait. Un soir, j’étais en train de remonter le conjoncteur-disjoncteur d’une vieille BX, et les 17 heures syndicales étaient bien passées ; ce n’était pourtant pas la première fois que je dépassais l’heure de débauche, mais ce soir-là ...