1. Ma première patronne


    Datte: 13/03/2021, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail grosseins, fsodo, Oral

    ... directe, elle prit ma queue en bouche et me suça avec vigueur. Tout en creusant ses joues, elle arrivait à beaucoup saliver, ce qui était super agréable ; jamais mes copines ne m’avaient sucé comme ça. De sa main droite, elle se masturbait. Tandis que je regardais ce spectacle que je n’avais même pas espéré en rêve, je sentis que je ne pouvais plus me retenir longtemps et pour la première fois, je la tutoyai : — Si tu continues comme ça, je vais plus tenir… je vais jouir dans ta bouche. Elle ne me répondit pas et continua de plus belle sans s’arrêter. Rapidement, je finis par éjaculer une quantité de sperme à en tourner de la tête. Elle avala tout et continua à me sucer ; malgré mon excitation, je dégageai sa tête et la fis s’asseoir sur le démonte-pneus. Accroupi, je glissai ma tête dans son entrecuisse trempé et la léchai avec fougue. Mes mains continuaient à lui caresser ses cuisses et ses gros nichons, totalement sortis de son chemisier et de son soutien-gorge, qui était maintenant autour de sa taille. Parfois, elle s’en pinçait elle-même le bout alors que mes mains s’agitaient avec ma langue sur son vagin. Pendant cette séance folle, elle me caressait la tête et poussait des râles et des petits cris; elle m’encourageait : — C’est bon, continue… continue… Oh ! oui ! comme ça … vas-y, bouche-moi la chatte ! Vas-y ! Elle avait déjà joui deux ou trois fois et, déjà, mon sexe avait repris de la vigueur, et j’avais envie de la baiser. Je me relevai alors et l’accompagnai à ...
    ... s’adosser contre une petite table. Alors que je m’apprêtais à la pénétrer, elle me demanda : — T’as des capotes ?— Non…— Merde, j’en ai acheté mais je les ai déjà données à mes filles… Et comme je prends pas la pilule… C’est pas grave, prends-moi par derrière!— …— Allez, prends-moi par le cul ! Fais moi jouir par le cul ! Sur cette réplique, à la limite plaintive, j’étais un peu surpris. En fait, c’était ma première sodomie car mes copines me l’avaient toujours refusée. Sans discuter, je fis mine d’avoir confiance en moi et je la retournai virilement face à la petite table, puis je remontai sa jupe jusqu’à sa croupe. Alors que je dégageais la ficelle de son string, elle écarta ses grosses fesses et enduisit son anus de sa mouille qui était abondante ; c’était visiblement une pratique qu’elle connaissait bien. Elle écarta encore ses fesses et accompagna ma bite dans son petit trou. Quelle sensation ! Son trou était étriqué et très chaud. Quand mon sexe sortait de son cul, j’en profitais pour baver dessus afin de bien la lubrifier. Pendant ces coups de reins, elle jouissait fort, sans plus retenir ses cris, en m’encourageant : — Vas-y ! Défonce-moi ! Encule ta patronne ! Vas-y… Je suis ta pute ! Ces paroles m’enhardirent et je la labourai comme un sauvage. Par moment, je lui claquais les fesses, de plus en plus fort et elle m’en encourageait davantage. La sodomie avait duré pas mal de temps et je finis par lâcher ce qu’il me restait de sperme. Elle se retourna et s’accroupit enfin ...
«1...3456»