Lucie joue avec mes nerfs
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
plage,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
... et le regard malicieux par-dessus, là à côté de moi. Dans le brouhaha du matin qui s’anime, dans ce troquet tout simple du quartier des facs, perdu dans mon petit noir, je ne l’avais pas vue. Elle m’observait pourtant depuis dix minutes. Elle a fini sa tasse, m’a adressé son plus beau sourire, et puis elle est partie, se retournant juste au milieu de la salle. Je ne voyais qu’elle, son visage fin au milieu de ses cheveux blonds, son regard adorable, ses jolies lèvres un peu pâles. Elle est sortie. J’ai suivi des yeux son bonnet de laine rouge dans le flot de la foule. L’ange n’était plus là. La vie n’est pas rancunière. Cette apparition m’avait réveillé. Je suis rentré me laver de mes excès, et me reposer. Vers 16 heures, je suis retourné dans ce bistrot. Derrière la vitre, j’espérais l’apercevoir. Sur la table, mon café s’évaporait tout seul. Le garçon de café, zélé, vint m’en proposer un autre. Mais je n’avais pas besoin d’un café, je voulais juste un prétexte, chaud ou froid, je m’en foutais. Je voulais la revoir. Mais rien, seulement la vie parisienne ordinaire de l’autre côté du carreau. Déçu et résigné je me levais pour partir quand elle s’est assise en face de moi, souriante. Elle a appelé le garçon et a commandé deux cafés. Pour avoir chaud, pour rester éveillés, et parler, longtemps. Si longtemps, que nous parlons encore et toujours avec Lucie. Bien sûr, il nous arrive de faire des pauses. Comme maintenant où je la reluque pendant qu’elle s’ébat dans l’océan. Elle ...
... émerge de la surface à vingt mètres de moi. Ses seins dardent fièrement leurs tétons. Le froid de l’eau et le vent les tendent. Elle n’en a cure. Insouciante, elle revient tranquillement vers le bord. Nous sommes quasiment seuls sur ce bord d’océan. Nous sommes début mai. L’air est doux. L’après-midi est déjà bien avancé. Elle progresse lentement. Ses hanches m’envoûtent. Leur balancement m’hypnotise. Elle rabat ses cheveux vers l’arrière, ce qui remonte sa poitrine menue. Elle est superbe. Je la vois qui sourit, comme toujours. Elle sait que je l’observe. Son regard par en dessous semble me lancer des reproches.« Vilain voyeur. Mater sans honte une jolie fille en monokini. À mon âge ! Justement, à mon âge. Et puis quelle fille ! » Elle approche, mutine. J’admire le fuselé de ses jambes. Les gouttes glissent sur son corps, soulignant ses courbes gracieuses. Lucie se plante devant moi. Je suis obligé, dans ma position, de lever la tête pour la regarder dans les yeux. — Papi aurait dû se baigner ! Elle est un peu fraîche, mais c’est bon pour la peau, tu sais…— Un peu de respect, petite effrontée. Papi préférait se rincer les yeux, plutôt que de risquer d’y mettre du sel. Ça pique.— J’ai bien vu que tu prenais soin de tes yeux, mon salaud. J’espère que le spectacle t’a plu, parce qu’à me mater tout le temps, tu vas t’user la rétine, mon pauvre bichon…— Moqueuse, en plus… Et puis pour la peau, je suis quand même pas défraîchi…— C’est vrai, mon amour, minaude-t-elle, mais il faut ...