Captive d'un soir (3) - Histoires de Sexe

Captive d'un soir (3)

... de rire, je t’entends pouffer discrètement, je suis content de voir que ce jeu te plaît à ce point. Je tâche de retrouver mon sérieux et décide de te montrer ma bienveillance à ton égard. - Cela te plairait-il que je te masses ? - Ou... Oui monsieur. Ce serait un honneur, mais je ne sais pas si j’ai mérité tant de bonté de votre part. - Alors prends ça comme un ordre, esclave. - Oui monsieur, merci monsieur. - Allonge-toi et met-toi à l’aise, je ne serai pas toujours aussi clément. Obéissante, tu t’étends sur le lit, ta tête calée entre deux oreille. Complètement immobile, tu me laisses m’agenouiller sur toi, mes jambes posées de chaque côté des tiennes. Lentement, je fais aller mes mains sur ton dos, sur ton cou, dans tes cheveux. Je varie le rythme, tantôt plus doux, tantôt plus dur, je malaxe tes omoplates, je fais tournoyer mes paumes autour de tes reins, j’empoigne tes épaules. Puis, alors que je t’entends gémir, je continue de cajoler ton corps en m’attaquant au bas de ton dos, puis j’en viens à toucher tes fesses rougies par le fouet. Je te masses avec le plus de délicatesse que je puisse t’apporter, j’embrasse ta peau striée, là encore j’ai envie d’implorer ton pardon, mais je garde en tête le plaisir que tu as éprouvé alors que le fouet grondait. Puis je m’attaque à tes jambes divines et descends tendrement jusqu’à tes pieds. ygbyttdi — Hmm, merci monsieur, vous êtes tellement bon avec moi, susurres-tu comblée. Je jubile, je suis tellement heureux de t’entendre me ...

... féliciter pour ce cadeau. Je suis tellement bien, là, à tes pieds, pendant que tu savoures un instant de détente bien mérité. Et je t’ordonnes de te retourner, je veux voir ta poitrine. Tu obéis et me laisses admirer ton intimité, tu souris en tout en conservant les yeux fermés, tu es parfaitement docile. Je recommence alors mon massage, mes mains touchent ton visage, ton cou, tes épaules, puis viennent empoigner tes seins. Je vois tes tétons pointer, aussitôt l’envie me prend de les mordiller, de les lécher. Ma langue t’apporte davantage de béatitude, mais je sais ce qui te fera atteindre l’extase. Affectueusement, je glisse sur ton ventre, ma langue s’engouffre dans ton nombril avant de poursuivre sa descente. Plus elle se rapproche de ton intimité, et plus tes gémissements s’intensifient, jusqu’à ce qu’enfin j’atteigne ton entrecuisse. Haut, bas, haut, bas, gauche, droite, gauche, droite, je répète ces mouvements avec ma langue, pénétrant davantage ton sexe offert. D’un vif regard, je te vois empoigner les draps tout en poussant des plaintes de moins en moins retenues. Tu veux venir, je le sens, pendant que je titille ton clitoris. Aussitôt je détache ma langue et relève la tête. - Interdiction de jouir, esclave. - Ou... Oui, maître, j’essayerai, je ferai ce que vous voudrez. Le ton de ta voix dénonce une certaine frustration, tu as envie de jouir, tu attends cela depuis le début de la soirée. Mais je veux que tu te retiennes, je n’en ai pas terminé avec toi. Je recommence à ...