1. Quatre mois de loyer


    Datte: 14/03/2021, Catégories: fh, fplusag, grosseins, fdomine, entreseins, Oral extraconj,

    ... déranger plus longtemps, vous avez le loyer je vous prie ?— Non, mais vous ne me dérangez absolument pas, je ne suis pas sortie aujourd’hui, j’ai travaillé à la maison. Venez, installez-vous, lui dis-je avec la voix la plus mielleuse et douce que je puisse sortir. Il s’exécute à contrecœur et s’avance au salon. Je me dirige vers la cuisine en lui lançant : — Je peux vous offrir un verre ? Je ne veux pas qu’on dise que je manque d’hospitalité envers mon propriétaire, tout de même !— Euh bien, c’est que…— Whisky ? Rhum ? Pas un soda quand même ? J’ai un très bon rhum de la Havane, il faut que vous goûtiez ! Et hop, je sens que j’ai déjà l’initiative dans cette partie. Il est plus jeune que moi d’une dizaine d’année et manque d’assurance. Je vais commencer par le détendre avec un superbe rhum ambré cubain, ça va lui donner chaud et me faciliter la tâche. J’allais continuer à attaquer comme un boxer jusqu’au KO final. J’enchaînai : — On peut se tutoyer si ça ne te dérange pas, c’est plus sympa, non ?— Oui, oui, ok, pas de soucis, mais je vais pas m’éterniser. Je suis un peu pressé et… Revenant de la cuisine, je lui fourre un verre dans la main et lui tends l’autre à hauteur du visage : — Tchin !— Tchin, dit-il maladroitement en faisant tinter son verre. Je remarque qu’il est toujours debout vêtu. Je pose mon verre sur la table basse et lui propose de le débarrasser : — On a cinq minutes, laisse-moi accrocher ta veste. Joignant le geste à la parole, je lui enlève et la dépose dans ...
    ... l’entrée. — Et assieds-toi ! Mets-toi à l’aide ! C’est pas tous les jours que tu passes à la maison. Je m’éloigne vers l’entrée en m’appliquant sur mon déhanché. Je vérifie dans le miroir qu’il n’en a pas perdu une miette. Il est ferré. Il boit quelques gorgées et apprécie visiblement la qualité de la boisson. — Bien, ne t’inquiète pas pour le loyer. C’est réglé, il n’y a pas de problème, lui dis-je en revenant au salon.— Eh bien, parfait ! Je sens qu’il hésite à demander l’argent de suite, il est trop gentil pour ça, comme c’est charmant ! J’attrape mon verre en m’asseyant à ses côtés. Je poursuis ma séduction, en écartant négligemment le haut de ma robe de chambre. En le fixant droit dans les yeux, je lui parle de ma situation. Je le blablate à mort sur mes soucis professionnels. Il est très compréhensif. J’en profite pour poser ma main sur son bras pendant la discussion pour l’interpeller. Je sens que ça le trouble. Bien. Il a une chemise, très jolie. Je lui fais remarquer, en profite pour lui caresser le pectoral, en m’attardant étourdiment sur son téton. Je sens sa respiration qui se désynchronise, il est dans les cordes. J’enchaîne en précisant mes déboires. Le client m’a contacté pour refaire toute son identité graphique. Après un premier accord et quelques réunions, nous sommes tombés d’accord pour un contrat. Je croise mes jambes. La robe remonte et dévoile ma cuisse, il est captivé. — Et donc, après un versement de 30%, j’ai travaillé d’arrache-pied pour finalement ...
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