Comment j'ai humilié ma femme pour son plus grand plaisir (2)
Datte: 15/03/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Nous en étions restés dans le sex-shop, Jenny avec sa robe détrempée suite à l’orage, quasi transparente et lui collant à la peau. Cette situation assez humiliante et ces regards à peine discrets de nombreux hommes rivés sur elle avaient achevé de mettre Jenni dans tous ses états. Je dis humiliante, car, jusque là, mis à part qu’elle ne portait ostensiblement aucun sous-vêtement, Jenni semblait subir le sort qui l’avait « contre son gré » mis dans cet état d’exhibitionnisme. Elle pouvait encore passer pour une victime et non pour une provocatrice. Elle adorait aussi, dans certains de nos scénarios, passer pour une martyre que j’obligeais à s’exhiber. Ici, c’est le ciel qui avait envoyé toute cette eau qui la rendait si vulnérable aux regards des autres. Jouant bien son rôle, elle prenait donc des airs gênés et faisait semblant d’essayer de masquer tant bien que mal ses charmes et ses courbes. J’ai vite compris le scénario qu’elle voulait jouer. J’ai donc adopté le rôle du méchant mari dominateur. J’ai commencé par lui remonter sa robe sur ses fesses pour dévoiler celles-ci encore un peu plus. Elle, se défend en rabaissant vite sa robe tout en récriminant un « arrête ! Ils regardent ! ». Et moi de continuer malicieusement. Après quelques échanges qui ont bien sûr rameuté quelques voyeurs supplémentaires, elle me lance une « arrête, ça suffit maintenant ! » suffisamment fort pour que tous entendent bien qu’elle n’apprécie pas mes gestes déplacés. Et moi de lui rétorquer afin ...
... que tous l’entendent bien : « Oh là, madame, ne le prends pas sur ce ton ; tu sais bien que tu feras tout ce que je dirai de faire ; et tu sais très bien pourquoi, d’ailleurs !... Bon, suis-moi, maintenant ! » Et je l’emmène vers un coin du shop éloigné du comptoir où sont exposés, sur l’étagère du bas, toute une série de vibromasseurs. Là, je lui ordonne : « Penche toi en avant, sans plier les genoux, et regarde un à un chaque modèle, bien à ton aise. Et surtout, ne te relève pas tant que je n’en t’en donne pas la permission, et n’essaye pas de m’empêcher de faire ce que je fais ! C’est bien compris ? » À cet instant, j’ai compté sept hommes qui avait dû clairement entendre mes instructions et qui, s’ils entendaient le Français, avait bien compris que « madame » allait exécuter mes ordres. Jusqu’où cela irait, ils ne le savaient pas, mais, pour le moment, ils étaient manifestement très intéressés par la tournure que prenaient les évènements. À l’idée que j’allais leur dévoiler son beau petit cul, dans une position humiliante, et dans un endroit public, Jenni avait la mouille qui lui coulait dans l’entre-cuisses. Et moi, je bandais toujours aussi fort, cela va sans dire. Et c’est donc ce que je fis : je remontai lentement sa robe en direction de son dos. Dévoilant petit à petit ce qui n’était pas encore visible de sa croupe bien tendue. Et je remontai le tissu jusque loin dans le creux de ses reins. Histoire que son fessier se retrouve tout-à-fait exposé. Plusieurs autres ...