1. 48 heures (3)


    Datte: 16/03/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... commencent à pointer. Puis c’est au tour de ma jupe. Les deux pressions qui restaient fermés, ma ceinture… Je la laisse tomber dans l’herbe. Je reste debout un instant, parcourant de mes mains mon corps nu, retrouvant cette sensation dont je ne me lasse pas, quand je me retrouve dehors, en tenue d’Ève, et observée. Je me baisse pour étaler ma jupe, afin d’en faire un tapis de plage improvisé et, en me cambrant, je présente mon petit cul aux deux femmes. Cachée par mes lunettes de soleil, j’en vois une donner un coup de coude à son amie, en désignant d’un mouvement de la tête le bijou anal qui étincelle au soleil entre mes fesses. Il ne m’en faut pas plus pour que mon minou se remette à mouiller. Je m’allonge sur le dos, cuisses écartées, et je goûte les caresses du soleil et d’un petit vent chaud sur les parties les plus intimes de mon corps. Mon esprit vagabonde, et revient souvent vers Juliette. Que fait-elle, en ce moment ? A-t-elle déjà montré ses jolis nichons ? Comment s’est-elle fait jouir ? Ces questions me ramènent à ce que j’ai fait hier, et depuis ce matin. L’image de l’homme d’entretien se branlant devant moi, pendant que je me masturbe, quasiment nue, reste gravée, et je sens une nouvelle vague de désir qui monte. Je crois vraiment que je suis nympho ! Je n’ai pas pu m’empêcher de glisser une main entre mes jambes. Tant pis si mes voisines me voient. Et d’ailleurs, je suis certaine qu’elles me voient. Mon index tourne autour de mon petit bouton dressé, ...
    ... s’insinue dans mon abricot tout juteux… Je sais que je vais jouir. Mais un autre besoin, impérieux, se fait ressentir. Depuis la mi-journée, j’ai bu beaucoup d’eau, et je ne suis pas allée aux toilettes... Sciemment, pour être honnête, en prévoyant d’obéir à l’ordre ultime de ma comparse. J’ai honte de ce que je vais faire. Anxieuse, je regarde autour de moi : où me mettre ? Je n’aurai pas le courage de rester ici, devant ces deux femmes. Trop gênant et humiliant. Je sais que Juliette veut qu’on me voit… Et puis, cet orgasme qui couve dans le bas de mon ventre, au bord de l’explosion. Soudain, je remarque l’arbre mort qui est tombé, à deux mètres de moi. Sa souche déracinée, le tronc couché, les branches qui baignent dans le lac. Je dois pouvoir en tirer parti, pour faire mine de me cacher, tout en restant visible. Je me lève, suivie du regard par mes voisines, et je sens ma sève couler le long de mes cuisses. Je contourne la souche, et je m’avance jusqu’au bord de l’eau. À travers les branches mortes, je sais qu’on peut me voir totalement. Et c’est ce que je veux aussi. Je reste debout, les jambes écartées. Je me suis placée face à mes spectatrices involontaires, et j’ai tourné la tête dans la direction opposée, pour laisser penser que je guette l’apparition d’un éventuel intrus. L’excitation me submerge, m’entraîne irrésistiblement vers le point d’orgue de ces 48 heures. Je caresse mes seins, je pince convulsivement mes tétons, mes doigts agacent mon petit bouton, fouillent ma ...
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