1. Jessica, ma meilleure amie 6


    Datte: 16/03/2021, Catégories: Anal Inceste / Tabou Hardcore,

    ... avec mes problèmes de santé, j’étais en arrêt maladie et à demi-traitement. Ma mère, très inquiète, se faisait souvent influencer par mon beau-père et mon père, avec l’idée que mes douleurs au dos étaient une simulation pour faire mon Tanguy. Et quand les parents deviennent actionnaires majoritaires de votre vie, il suffit de ne plus entrer dans la case du fils parfait pour que les disputes et les reproches arrivent. Le corps médical pataugeait et j’étais renvoyé d’un médecin à un autre. Les dernières consultations avec un rhumatologue orientaient le diagnostic vers un cancer. Seule Jessica et sa famille étaient au courant. Je ne voulais pas en parler à ma propre famille. Mais j’avais terriblement peur. Cette douleur lancinante qui ne me quittait jamais, qui m’empêchait de rester en station assise et statique trop longtemps, s’aggravait au point que parfois, ma jambe droite refuse d’avancer. Je me paralysais d’une jambe et ça me terrifiait. Je sais que c’est peut-être étonnant ou pas cohérent vu mes performances sexuelles narrées dans ce récit. Mais tout est vrai.Fréquenter Jess et ses parents étaient un moyen pour moi d’éviter de sombrer dans une grosse dépression.Pour autant, la famille de Jessica était loin d’être parfaite. Surtout sa mère, Laure. Laure et son mari Jean se sont rencontrés quand Laure était encore lycéenne. Jean était déjà étudiant à la fac à l’époque. Laure avait eu sa première fille, Sandra, à 17 ans avec Jean peu de temps après leur rencontre. Elle eut ...
    ... Jessica deux ans plus tard. Laure était une fille ambitieuse à l’époque. Jolie (pour avoir vu des photos de l’époque), brillante, elle avait dû arrêter ses études avant le bac. Sa famille, très vieille France, lui avait tourné le dos après lui avoir reproché d’avoir gâché sa vie, en tombant amoureuse d’un homme 5 ans plus vieux qu’elle alors qu’elle n’était encore qu’une ado. Laure a très vite développé des troubles bipolaires assez conséquents, mais sans doute que c’était déjà en elle. Dans ses phases maniaques, elle jalousait follement ses filles et avait des paroles très dures envers elles et son mari, les accusant d’avoir bousillé sa vie. Dans ses phases dépressives, elle culpabilisait en s’apitoyant sur son sort de femme au foyer avec bientôt plus de filles à sa charge. Entre les deux, quand son traitement la stabilisait, c’était une jolie femme de 42 ans pimpante et aimant avoir de la visite chez elle pour se sentir moins seule. Je ne me voyais pas refuser son invitation.Jean était un homme très sympathique et on voyait qu’il aimait éperdument sa femme. Il était assez classique, souvent en costume cravate chemise, et portait une moustache raccord avec ses cheveux courts poivre et sel. Il avait 47 ans mais paraissait 10 de plus, sûrement avec le souci. On notait aussi qu’il était souvent dépassé par le mal dont souffrait Laure, et il se sentait impuissant quand elle allait mal. Il se noyait dans son travail, qui était une échappatoire pour lui. Il savait que le jour où ...