L'histoire de Marie Christine (6)
Datte: 18/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Je m’appelle Marie Christine, je suis brune, cheveux courts au carré. J’ai 59 ans. Je suis cadre intermédiaire dans une entreprise de santé. Mes mensurations sont 110, 60, 85. Je mesure 1,65m et je pèse tout juste 50 kilos. Le reste du temps je suis soumise. Je porte le matricule S 666, tatoué sur mon pubis et mon sein gauche. L’année dernière, mon maître m’a présentée au concours organisé par la communauté. Il l’a gagné. Je suis maintenant soumise de troisième catégorie, le grade le plus élevé dans la hiérarchie. Cette distinction permet à mon maître de participer à tous les jurys et toutes les manifestations de la communauté et surtout d’accueillir quand et autant qu’il le souhaitait n’importe quelle soumise certifiée de deuxième et même de troisième catégorie. Dans les temps qui ont suivi cette récompense, mon maître a connu un moment, disons, de décompression. Ce qui est normal, vu l’énergie et le temps qu’il avait consacré à me préparer et à satisfaire tous les critères nécessaires à ma qualification pour le concours. Puis la vie reprit son cours. Mon maître est à présent fort occupé par ses nouvelles activités. Son titre lui a conféré un statut d’expert reconnu dans le milieu. Il est très sollicité et voyage beaucoup pour valider les certifications de diverses soumises, conseiller leur maîtres et participer à l’organisation des instances de la communauté. Parfois, il accueille une soumise à la maison pour un soir ou quelques jours, toujours pour compléter son ...
... éducation. Ce fut le cas avec S978, une russe de 25 ans, une magnifique blonde, grande, slave très typée. Elle avait loupé sa certification de troisième catégorie lors du concours. S978 est venue plusieurs fois. Le rituel est toujours identique. Quand elle est là, je dois les servir. A table bien sûr, mais aussi le reste du temps. Mon maître me demande de la préparer. Je la lave, la maquille je l’attache, puis nous pratiquons des jeux lesbiens pendant qu’il nous observe. Chose rare, car il ne l’a jamais fait avec moi, il accepte qu’elle le lèche, voire qu’elle lui pratique une fellation pendant que je la fouille de mes doigts. Le reste du temps, je dois rester immobile, nue et assister au travail de mon maître sur S978, prête à intervenir s’il me le demande. Parfois la situation est inversée, la russe doit me lier puis elle me mord ou me griffe, ou encore me fouette. Mon Maître est également très sollicité à mon sujet. Il reçoit pas mal de demandes d’autres maîtres qui souhaitent m’accueillir. Il répond toujours avec bienveillance et me prête parfois, si la requête qui lui est soumise paraît intéressante. Il est en réflexion avec le conseil d’administration de la communauté pour la création d’un statut de soumise hors catégorie. Il me dit que si ce projet aboutit, le fait de me prêter à des maîtres reconnus me prépare à cet ultime stade. Par exemple, j’ai effectué un stage à bord du chalutier du maître M267, au cours duquel j’ai dû satisfaire aux besoins de tout l’équipage pendant une ...