Des vacances bouillantes (4)
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
Hétéro
Il est dix heures, je suis dans le véhicule familial avec ma belle-mère afin d’aller au marché. Pendant le trajet, une sorte de chaleur un peu spéciale me rougit les joues. Je suis à quelques centimètres de cette belle femme qui ne cesse de provoquer en moi des envies pas très catholiques. Au bout d’un quart d’heure, Karine stationne le véhicule, puis nous commençons nos achats. Elle prend des fruits, des légumes, puis un peu plus loin du jambon de pays. Quelques regards masculins et féminins sont insistants lorsqu’elle passe dans les allées. À côté d’elle, je me sentirais presque de trop. Chez le crémier, nous bénéficions de quelques morceaux de fromage, son étalage est un peu en hauteur. En regardant ses yeux, je m’aperçois que ces avantages ne sont pas dus à son envie de nous faire découvrir des goûts divers et variés, mais bel et bien grâce au décolleté de ma belle-mère. Il est pratiquement onze heures, nous quittons le marché, puis nous discutons de tout et de rien pendant le trajet. A notre arrivée, je l’aide à descendre puis ranger les courses. Ayant prévu d’aller au bord de la rivière, je vais dans ma chambre afin de me changer. Dans le couloir, je croise Louise qui me prend par le bras, puis qui m’entraîne dans notre pièce commune. Elle me pose une multitude de questions sur cette matinée de marché. Je l’informe qu’il ne s’est rien passé de spécial, elle veut être rassurée. Je ne comprends pas trop sa jalousie, je lui indique tout de même qu’il s’agit de la compagne ...
... de mon père et qu’elle reste un simple fantasme rien de plus. Je profite d’un instant de répit pour me changer. Désormais cela ne me dérange plus de me mettre nu face à elle. M’accompagnant tous les jours au bord de l’eau, elle fait de même. Je ne peux m’empêcher de la trouver désirable à chaque jour qui passe, je m’approche d’elle afin de l’embrasser, mais nous sommes rapidement sortis de notre moment d’intimité par Karine qui nous appelle afin de préparer la table. Aujourd’hui, elle s’est chargée du déjeuner. Nous l’aidons, puis mon père arrive à son tour avec Catherine et ma tante à ses côtés. Mathieu et Gérard sont partis dans la montagne afin de s’occuper des moutons. Nous mangeons tous ensemble, nous remercions ma belle-mère pour tout. Aux alentours de quatorze heures, Louise et moi partons au bord de la Nive. La rivière où nous nous baignons régulièrement afin de nous détendre. Nous sommes à peine sortis de la cour qu’une voix féminine nous interpelle. Il s’agit de ma belle-mère qui souhaite nous accompagner. Du coup, nous patientons quelques minutes. Je perçois un agacement sur le visage de ma cousine qui soupire une dizaine de fois. Karine revient vers nous, sur un vélo que Catherine lui a prêté. Comme d’habitude, nous roulons sur le chemin qui nous mène au bord de la rivière, nous installons les serviettes, puis nous allons dans l’eau très rapidement. La compagne de mon père est un peu moins agitée, elle prend le temps d’enlever sa robe et se met en maillot de bain. ...