1. Sandrine et les trahisons (5)


    Datte: 19/03/2021, Catégories: Hétéro

    ... fessée, puis une seconde, plus forte. Je tape avec le plat de la main, toujours au même endroit. Quatre, cinq, six fois. Aude fléchit, mais ne rompt pas, comme si elle tenait à me défier physiquement. J’explose. Aude tombe en avant sur le lit et m’entraine dans sa chute. Trempée de sueur, elle rit : — Tu m’as dé-fon-cée ! Mais vraiment ! — Imagine si j’avais été dans ton cul… Elle nargue : — Un tel engin dans le cul, ça doit être une sacrée expérience… Il faudra que tu me laisses ton numéro ! Je ricane. Elle insiste : — Non mais vraiment. — Pourquoi ? — Tu pourrais participer à mon enterrement de vie de jeune fille… — Pourquoi pas. Tu te maries quand ? — Dans trois mois pile, le 26 août. — Je suis là tout l’été, on n’est pas obligé d’attendre ton enterrement de vie de jeune fille. — C’est vrai. Elle m’embrasse et ajoute : — J’ai très envie de baiser avec toi une autre fois. — Et moi, j’ai très envie de t’enculer. Ton gros cul me rend fou. — Hééé ! Tu sais ce qu’il te dit le gros cul ? Elle fait semblant de me frapper. Je rétorque : — Il me dit quoi le gros cul alors ? Elle rit : — Qu’elle est curieuse d’essayer. — T’es parfois sur Grenoble ? — Je donne des cours tous les jeudis là-bas. — Ok, ça me va. — Quoi ? — Après tes cours, tu viens chez moi et on passe la soirée ou le début de la soirée ...
    ... ensemble. rfnrccwm Elle sourit : — Mmmh… C’est tout à fait jouable car mon mec sort fréquemment ce jour-là et on ne se voit pas. Que je rentre à 19h ou à minuit, il n’y saura rien. — On dit jeudi à quelle heure ? — Je finis à 18h30. Le temps de me doucher et de me préparer, je peux être prête pour 19h30. — Tu peux aussi te doucher chez moi. — J’aurais tellement envie que tu me baises que je préfère être propre en arrivant. Elle éclate de rire et moi, je suis aux anges avec tout cet échange. Nous nous rhabillons et retournons dans la salle à manger. Sandrine, Sabine et Marjorie se sont déplacées au salon. Nous avons visiblement fait un peu long si je me fie aux échanges de regards entre Aude et Sabine. Je vais vite sur le balcon pour prendre l’air et pour envoyer un message à Sandrine : "Tout roule". Je bois de l’eau, je me repose, je souffle, je me détends dans le canapé. Je me mêle avec parcimonie aux discussions qui concernent désormais l’organisation du mariage et le rôle des demoiselles d’honneur. Mon attention se porte plus fréquemment sur Marjorie. J’essaye de capter les regards entre les filles et de comprendre leur signification. Marjorie semble hésiter. Elle baisse les yeux quand elle croise mon regard, mais jamais sans un petit sourire. Elle et Aude sortent fumer. L’action décisive. 
«12»