1. Tic ! Tic ! - 2


    Datte: 19/03/2021, Catégories: Humour, Lesbienne Mature,

    ... baiser.— Aaaaaah, tabarouette, on était si bien. Lâcha Marie-France mollement en roulant sur le dos jambes écartées.Marie la regarda s’étirer comme une chatte au soleil, bras en l’air, en pliant les orteils jusqu’à les faire craquer la trouvant comme toujours très désirable et elle le faisait exprès pour l’exciter, elle la connaissait que trop bien. Son amie avait un visage unique d’une grande beauté, de petits seins parfaits, une taille fine, pas de ventre, une belle toison noire ovale et des jambes de gamine. Un corps que Marie avait caressé et embrasser tout partout des centaines de fois et qui, encore aujourd’hui, la faisaient saliver. Puis son amie s’assit dans le lit en rajoutant en calant des oreillers contre ses reins :— C’est pas souvent que je peux faire garder les 3 enfants en même temps chez ma mère depuis mon divorce, et pour 3 jours en plus. Bon, tant pis ! Maintenant que je suis réveillé, je viens avec toi. Il est pire qu’un lapin boosté au Viagra ton beau grand Paul. Il nous as baiser toutes les deux pendant presque 20 minutes avant s’écrouler épuiser. Une vraie bête ! Et le voilà reparti pour en baiser une autre.Marie lui fit la grimace en cherchant son slip.— Arrête de te moquer de mon homme ma belle et ces toi qui en as profité le plus ma tabarouette et baisse le ton, il va nous entendre. Et puis, une fois endormie j’ai pu enfin de toucher un peut.— Hummm ! chuchota Marie-France amuser en s’assoyant sur le bord du lit tout en rabattant ses cheveux derrière ...
    ... ses oreilles. C’est vrai qu’il m’a pas mal secoué. Hum ! Dommage qu’il a fini si vite et toi aussi d’ailleurs. J’ai failli jouir.— Menteuse, t’es venu trois fois et moi juste une fois.— Oups, fit-elle tout sourire. Ça se peut.Et Marie-France écarta les cuisses pour que Marie profite pleinement de la vue et surtout pour que ça lui redonne envie de revenir au lit. Elle la connaissait bien, elle savait que ça l’exciterait de voir son sexe.— Il a fait ce qu’il pouvait le pauvre, ne put s’empêcher de rajouter Marie en riant ne pouvant s’empêcher non plus de regarder son amie écarter les jambes au max, avec envie. Une vulve l’avait toujours excité autant qu’un beau pénis et Marie-France le savait très bien et elle le faisait exprès. Et elle le voyait très bien dans ses petits yeux moqueurs. Marie sentit un pincement au cœur comme a chaque fois qu’elle voyait son amie nue, tout autant que la première fois qu’elle avait baisé ensemble encore adolescente alors qu’elle était vierge toute les deux au chalet des parents de Marie. La première fois qu’elle c’était embrassé, caresser, comme des folles, nue toutes les deux pendant des heures en se croyant lesbienne a l’époque parce qu’elle s’aimait jusqu’à ce qu’elle perde leur virginité. Là, elles avaient compris qu’elles aimaient ça aussi avec des garçons, sans cesser de s’aimer pour autant. Elle s’était même fait faire chacune le même tatouage sur la fesse droite, deux petites cerises pour se rappeler qu’elles avaient perdu leur virginité ...
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