Le Plus Bel Ete 01
Datte: 20/03/2021,
Catégories:
Première fois
... alors que je sens son nez farfouiller de plus en plus bas, et qu'il abaisse inexorablement mon dernier rempart de tissu, qui vient de franchir le pli de mes genoux, et entravera bientôt mes chevilles. Parvenu au bas de sa course, Xavier m'aide à passer le pied par-dessus la jambe tirebouchonnée, et se redresse. Je suis nue. Pour la première fois de mon existence, sauf devant ma mère ou le médecin, je suis nue. Devant un homme qui me scrute. Qui me dévore des yeux. Qui m'a déjà fait entrevoir le plaisir. Qui a mis ses mains à des endroits où je ne mets les miennes que contrainte par les nécessités hygiéniques de la vie. Ma respiration se suspend, puis reprend dans de grandes exhalaisons. Je suis totalement décontenancée et en même temps impatiente de connaître la suite! Une chose est certaine cependant : il n'y a pas de raison que je sois nue devant lui et que lui reste habillé. Je lui adresse un sourire timide et je commence soigneusement, lentement, à déboutonner sa chemisette. Elle s'ouvre sur un torse revêtu d'une toison de poils blancs. Je repousse les bords au dessus de ses épaules et les fait basculer dans son dos. Le pantalon maintenant. Et sa « chose »... Je desserre sa ceinture. Je déboutonne. Le vêtement tombe. Il s'en débarrasse d'un coup de pieds. Il reste avec un slip shorty en coton blanc, avec une de ces ouvertures horizontales qui sert de braguette. Il est imposant. Doucement, je passe le dos de la main sur sa grosseur. Ça réagit et se redresse. Je relève ...
... les yeux. Les siens sont amusés, comme ironiques. -- Ça ne va pas te manger! Tu peux la découvrir... Doucement... J'hésite. Bien sûr, j'ai déjà surpris des... queues?... bites?... en photo dans des canards que des filles se montraient en cachette pendant les récrés, mais là... C'est chaud, ça vibre, ça a du volume... Finalement, je me décide, je passe les mains de chaque côté et je commence la descente. Mais ça accroche... Que faire? Dois-je tirer? Forcer? Il m'a dit : doucement! Il faut que j'ose. D'une main je me saisis du relief, que je plaque sur son ventre, et de l'autre je tire la ceinture par dessus. Je découvre l'engin. Sa « chose » s'incline un peu, comme pour me saluer. Je le débarrasse de cette dernière entrave, et je me relève. Voilà, maintenant c'est fait! Nous sommes tous deux nus, face à face. Alors, il me prend par la taille, et doucement m'enlace, serre ma nudité contre la sienne, ma tiédeur contre la sienne, ma fourrure contre ses poils, et sa... queue?... Bite?... contre mon... ma... Quoi, au fait? Sexe? Trop médical. Fente? Seulement ça? Il me dira. Je me love contre lui, je m'accroche à son cou. Et nous finissons par nous rouler un patin de première! Plus tard, il m'avouera qu'il a été à la fois fasciné et ému par mon corps, qu'il s'est émerveillé de ma fourrure, abondante, intacte, qui tapissait largement mon ventre au-delà même de mon pubis, foisonnait dans tout mon entrejambe, jusque sur le haut de mes cuisses, pilosité qui retenait selon lui les ...