1. Un homme devenu précoce


    Datte: 20/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sexuelles. Je perdais toute initiative, je devenais soumis, je devais porter en permanence une sorte de ceinture de chasteté masculine qui emprisonnait mon sexe, c'est elle qui décidait de nos relations, de ses jouissances, des miennes. Il y avait des gages, des punitions pour les manquements, et des récompenses etc. sur le coup, je trouvais cela un peu plus compliqué, organisé, et contraignant que ce que j'avais pu imaginer, mais devant sa détermination, devant ses avances, devant ses menaces sous entendues de l'équilibre de notre relation j'ai accepté.Très rapidement, j'ai compris que la dépendance sexuelle devenait la base de cette éducation. La ceinture que je portais (et que je porte toujours) correspond à une sorte de cage, avec mécanisme de fermeture et d'enlacement qui m'enserre le sexe, les reins, et qui empêche toute érection normale, et ne permet pas de pouvoir jouir. Elle seule possède la clé, et non seulement il est beaucoup plus difficile qu'il n'y paraît de s'en débarrasser, mais en plus c'est on ne peut plus douloureux vue le mécanisme d'enlacement spécialement conçu qui déchire la chair si on force la serrure ou la structure métallique (il faut trois mains pour pouvoir tout enlever à un moment donner sans rien enfoncer dans le gland, et si j'assiste ma femme à chaque fois ma femme lorsqu'elle le fait je me vois mal demander de l'aide à quelqu'un). Le premier mois, je n’eus pas le droit de jouir.Pour une entrée en matière cela était difficile mais aussi très ...
    ... excitant. Mais insidieusement c'est tout un contrôle qui s'installait que je n'arrivais pas à saisir, que je ne voulais peut être pas, dans le fond, au départ. Lorsque c'est l'autre qui décide de la jouissance, on s'attache à la satisfaire, on essaye de la contenter, on accepte plus volontiers ses réprimandes ou au contraire ses douceurs et fantasmes. Surtout que j'ai un appétit sexuel qui me fait me transformer en quelqu'un d'assez docile pour parvenir à jouir, ce que je ne savais pas. Aussi, quand elle m'a expliqué au premier jour du deuxième mois que l'on allait passer à l'étape suivante, je n'ai pas forcément pris mes gardes là non plus, pensant qu'elle se lasserait, qu'elle me ferait plus souvent jouir. Et de fait, alors que je portais tout le temps et continuellement la ceinture, elle m'ouvrirait parois cette cage pour me permettre de jouir. A condition que je me masturbe dans un temps imparti bien précis.Il fallait que je parvienne à chaque séance de liberté, à jouir devant elle en 3 minutes, montre en main. Si je n'y parvenais pas, elle refermerait la cage jusqu'à la prochaine fois. Les premiers temps, ce ne fut pas évident, et la première semaine je ne parvins pas à jouir. La deuxième semaine, n'y tenant plus, je me répandais sur le sol. En effet, à chaque fois, je devais être à genoux, elle assise devant moi en train de se masturber, de me raconter des choses très sexuelles, me permettant même de la toucher. Deux mois plus tard, je parvenais à jouir à chaque fois en ...