1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 654)


    Datte: 20/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Quant à soumise Estelle, elle servait les plats, et bien souvent, elle se faisait tripoter le cul ou la chatte par l’un ou l’autre des Dominants. Vers la fin du repas la Maîtresse d’Estelle (Madame Gabriella) lui ordonna d’expliquer à Monsieur le Marquis ce qu’était le rituel du soir pour Elle. Alors qu’elle se tenait debout, en attente, quelque peu réservée et timide, à faible voix, elle commença à donner quelques explications. Elle reçut deux claques sur les fesses de la part de Madame Gabriella. - Aurais-tu honte de dire haut et fort ce que je fais pour toi et ton éducation ? La soumise honteuse recommença en parlant d’une voix plus forte : - Monsieur le Marquis, Maitresse Gabriella, tous les soirs après le dîner, me distribue dix coups de martinet sur les fesses et dix autres sur ma poitrine. Elle estime, à juste titre que ce rituel fait partie intégrante de mon éducation. Monsieur le Marquis d’Evans, menton appuyé au creux de sa main regardait et écoutait attentivement soumise Estelle. - Ce n’est pas tout Monsieur le Marquis… après cette séquence douloureuse, Maître Henri me pose des électrodes dans mon vagin pour tonifier mes parois intimes, et ce pendant dix minutes. Lui seul décide de l’intensité et des variations électriques. Je me plie volontairement à ses contraintes physiques, sommes toute douloureuses Monsieur le Marquis, car je sais qu’elles sont indispensables au bon fonctionnement d’une chienne soumise comme moi, je tends à le devenir ! Monsieur le Marquis ...
    ... demanda à Estelle de s’approcher de lui. Une fois à proximité, il l’attrapa à pleine main par sa chatte - Et bien le repas est terminé, nous allons donc pouvoir assister à ce beau spectacle, petite chienne. Les quatre Dominants se levèrent aussitôt, Monsieur le Marquis d’Evans attrapa Endymion MDE par son collier pour qu’il les suive, Madame Marie appela les deux skippers, tous se dirigèrent vers la proue du bateau. Il faisait nuit, une belle nuit en réalité avec un ciel qui s’était subitement éclairci éloignant ses sombres nuages d’orage et désormais était parsemé d’étoiles, une belle lune éclairait le Croix Rousse. Estelle attrapa le bastingage de ses deux mains, écarta les jambes, tendit son dos. - Monsieur le Marquis, me feriez-vous l’honneur de flageller ma chienne ? demanda Madame Gabriella en lui tendant un lourd martinet de cuir Il répondit que oui, bien sûr. - Soyez sans pitié, Monsieur le Marquis, je vous en conjure, car elle aime ça et elle ne souhaite aucune modération ! Elle me supplie même parfois de frapper plus fort, repris Madame Gabriella. Monsieur le Marquis fit d’abord glisser les multiples lanières du martinet sur le dos d’Estelle, telle une caresse, comme s’il voulait faire goûter l’objet à cette peau sensible, puis avec détermination il asséna les dix coups, sans cruauté, ni bonté mais avec une dextérité imputée à sa longue expérience. Estelle hurlait à chaque coup et à chacun d’eux, et de par son masochisme, elle semblait mouiller de plus en plus, ce qui ...