Liaisons dangereuses (18)
Datte: 20/03/2021,
Catégories:
Hétéro
Après un samedi fort agréable et un dimanche plus sportif, la semaine de travail a repris. Ça fait un petit moment que je n’avais pas redémarré en étant à ce point détendu, j’avais eu une dose de sexe aussi délectable qu’inattendue et dans un contexte qui, cette fois-ci, ne souffrait d’aucune ambiguïté. Pas besoin de se cacher et/ou d’en faire un secret, cette baise avec Marion avait été simple, psychologiquement parlant, si on la compare avec les expériences rousse et indienne passées. Je me rends compte que tout ça m’avait manqué, de n’avoir à me concentrer que sur le plaisir et rien d’autre. Marion a été une super rencontre, totalement imprévue, et c’est peut-être ce qui la rend aussi plaisante. Ne dit-on pas, d’ailleurs, que c’est les choses inattendues qui sont les plus belles ? D’autant plus qu’avec l’idée de Denise de me propulser comme futur primo-accédant au cul de la demoiselle, inutile de dire que l’impatience de commencer mon office avec elle n’est pas loin de me guetter !! En attendant, me voilà donc en mode cool au boulot, même si je préfère ne pas pousser le vice à me mettre à siffloter. Jenny est à bloc, motivée qu’elle est à reprendre la main après sa semaine d’absence. Comme à son habitude, elle est très speed, passant le plus clair de son temps au téléphone et le reste à donner une tonne de travail à tout le monde. Je ne saurais dire si c’est dû à ce qu’il s’est passé avec son frère, mais je trouve que son attitude a changé, elle est bien moins « légère » ...
... qu’à l’accoutumée, elle ne me fait plus de sous-entendus, plus de regards appuyés comme elle avait l’habitude de faire auparavant (chose que n’avait d’ailleurs pas manqué de remarquer Shama...). Elle a toujours aimé me chauffer subtilement, sachant pertinemment quoi faire et quoi dire pour attiser mon excitation. Mais depuis son retour, plus rien, elle a mis des barrières interdisant toutes familiarités à son encontre, c’est Jenny la boss, et non plus la coquine ou la maîtresse. Concernant les parties fines régulières qu’on avait l’habitude de se faire, là aussi, rideaux, elle reste aimable et courtoise envers moi, mais d’une manière qui me fait parfaitement comprendre que je dois rester à ma place. Peu importe après tout, Jenny fait ce qu’elle veut, nous n’avons aucun contrat elle et moi et nous ne sommes pas en couple, elle n’a donc aucun compte à me rendre. La semaine se déroule dans une ambiance plus légère que la semaine précédente, non pas que ça ait été le bordel sous mon commandement, mais le retour de Jenny a rassuré tout le monde, elle n’avait jamais loupé un seul jour (hors déplacement pro) et certains devaient sans doute se poser des questions. Comme quoi, même si Jenny peut-être quelqu’un de dure au travail, tout le monde s’accorde à dire qu’elle est une pièce principale de l’équilibre de la société. Nous voilà jeudi soir, et une fois n’est pas coutume, je pars à une heure normale. Mon poste de bras droit m’obligeant fatalement à devoir souvent faire du rab en fin ...