1. Le fol anniversaire d'Antonia (17)


    Datte: 21/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... jeans, des baskets et un t-shirt orangé. Elle a maintenant bien l’âge de l’étudiante qu’elle est. Elle pose son sac dans l’entrée et avance, bouche bée, dans la chambre. Elle est estomaquée par la taille du lit et par le jacuzzi. Elle tourne la tête vers moi et dit : — Vous n’avez pas dû vous ennuyer dans une telle chambre. — Non, pas vraiment, c’est vrai. Et toi ? — Pfff… Il m’a sautée hier soir, mais il fermait les yeux. Je suis sûre qu’il pensait à ta copine. Je n’ai pas joui. D’ailleurs, je jouis rarement avec lui. Ce matin, je me suis levée discrètement et je suis descendue déjeuner avant qu’il ne se réveille. Pour éviter qu’on baise. — Si ça te dérange autant, pourquoi continues-tu de le voir ? — Pour ça. De la poche de son jeans, elle sort cinq billets de 100. — Il te paie ? — La première fois, ça m’a fait bizarre qu’il me donne de l’argent. Et puis aujourd’hui, ça m’arrange bien. — Ça fait longtemps que ça dure ? — Environ quatre mois. Ça a commencé juste après mon anniversaire. Il était là, c’est un ami de mon père. — Et tu le vois souvent ? — Deux ou trois fois par mois. Si on passe la nuit ensemble, il me donne 500. Si c’est que pour la soirée, 200. — Tu n’as pas l’impression que… — Que ça fait pute ? Non. Ou plutôt oui, une fois. Il a voulu me voir à midi, en vitesse, et on a juste baisé dans un hôtel. Là, je n’avais pas du tout aimé. J’avais pleuré. Il m’avait donné 500. — Quelqu’un le sait ? — Ma meilleure amie, oui. Ça la dégoûte et elle me fait la morale. — ...
    ... Je pense que tu n’as pas de petit copain ? — Non. J’en ai eu un l’année passée, mais comme je me refusais à lui, il m’a plaquée. — Tu étais vierge avant de coucher avec lui ? — Oui, même si j’ai un vibro depuis un an environ. Je réfléchis quelques secondes. — Je n’ai pas à te faire la morale. La seule chose qui me dérange, c’est qu’il ne te respecte pas. Tu es son jouet. C’est un égoïste. Il n’a pas le droit d’en regarder une autre lorsqu’il est avec toi. Je l’ai dit hier, c’est de la goujaterie. Elle rit puis se rembrunit. — Les premières fois, il me regardait avec tendresse et douceur, c’était merveilleux, j’étais sous le charme. Mais rapidement, il s’est mis à regarder les autres femmes en ma compagnie. Je déteste ça. — Tu es si ravissante, si adorable, si désirable. Une femme d’une telle beauté n’a pas le droit d’être traitée ainsi. Elle rougit, visiblement émue. — On ne m’a jamais parlé comme ça. Je… Je ne lui laisse pas le temps de terminer. Je l’embrasse avec tendresse, les mains sur ses hanches. — J’ai envie de te donner du plaisir. — C’est que… J’ai compris. Elle sourit. Je soulève doucement son t-shirt et l’embrasse, la câline, la caresse, avant de lu retirer son soutien-gorge rose. Elle a de très jolis seins, hauts, petits et laiteux. Elle hoche la tête : — Ce n’est pas vraiment la même catégorie que votre amie, je suis désolée. Pour toute réponse, je m’occupe longuement de sa poitrine ce qui semble réellement la combler de plaisir. Les préliminaires sont entamés ...