1. Kaléidoscope


    Datte: 21/03/2021, Catégories: ff, fhh, ffh, grp, fbi, hbi, couleurs, grossexe, grosseins, hépilé, fépilée, sauna, Collègues / Travail douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral 69, fgode, préservati, fist, pénétratio, double, Partouze / Groupe jouet, policier,

    ... tranquille. Laure choisit de ne pas répondre. — On verra plus tard. Il est presque minuit, ce n’est pas une heure pour appeler les gens. C’est ensuite le mien qui sonne. — Ça doit être important, si on essaye de nous joindre toutes les deux. Mon pantalon est posé au coin du lit, je peux prendre mon téléphone sans avoir à bouger. Un numéro inconnu est affiché. Je décroche, c’est Xavier. Comment a-t-il fait pour trouver mon numéro ? Je discute avec lui alors que nous sommes encore engodées, s’il savait. — Je cherchais à joindre Laure. Sais-tu où elle est ?— Elle n’est pas loin de moi. Attends un instant. Je vais te la passer.— Ce n’est pas la peine, c’était juste pour dire que j’ai réussi à améliorer le détecteur de métaux. Ça marche nickel. Je suis prêt pour la chasse au trésor.— Super. On se retrouve directement à l’entrée du parc, c’est plus simple. À neuf heures, ça te va ?— OK. Je viens de raccrocher. Laure me regarde admirative. — Xavier a l’air particulièrement intéressé. Ce n’est pas son genre d’arriver aussi tôt d’habitude. Nous pouvons enfin reprendre notre coït. Cette interruption importune a stoppé notre plaisir, mais a augmenté notre désir. Totalement déchaînées, nous nous ramonons sauvagement jusqu’à enfin atteindre une jouissance salvatrice. Même si nous venons juste de jouir, nous ne sommes pas encore complètement comblées. Nos mains s’aventurent chacune vers le sexe de l’autre. Mues par l’envie d’un dernier plaisir mutuel et charnel, nous nous plaçons ...
    ... tête-bêche, Laure dessous et moi dessus, pour que chacune puisse offrir et recevoir du plaisir. Je parcours ses lèvres du bout de ma langue avec application. Laure conserve, par coquetterie, une touffe de poils pubiens sur le mont de Vénus. Elle est bien gentille, mais ça me chatouille le menton. Ma langue se fait plus inquisitrice, je force l’entrée de sa grotte intime, remonte vers son clito, en fais le tour, redescends pour faire durer le plaisir. Je sens bien que ma très chère amie me fait subir le même traitement dans le but de m’amener le plus lentement possible à la jouissance. Nos langues ne nous suffisent plus, nos doigts nous permettent d’aller plus profondément, d’écarter nos chairs pour permettre à notre langue d’aller plus loin. Notre plaisir croît, notre jouissance monte insidieusement en nous. Nos gestes s’accélèrent, portés par notre excitation. Je me rue sur le bouton de plaisir de mon amante et me mets à le sucer avec envie, lui déchaînant un orgasme soudain. Elle me rend la pareille, des centaines d’éclairs traversent mes yeux, je relève soudain la tête, des étoiles tombent du ciel. Je suis en apesanteur. Je crie. Laure hurle. Je retombe sur le lit, à côté d’elle, lourdement. Que ce fût bon. Sept heures trente. Le bruit de l’eau qui coule vient de me réveiller. Je suis seule dans le lit. Il est grand temps de se lever. Laure est déjà sous la douche, en train de se savonner. Elle m’invite à la rejoindre dans la cabine, ce genre de proposition ne se refuse pas. Elle ...
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