Kaléidoscope
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
ff,
fhh,
ffh,
grp,
fbi,
hbi,
couleurs,
grossexe,
grosseins,
hépilé,
fépilée,
sauna,
Collègues / Travail
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
Oral
69,
fgode,
préservati,
fist,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
jouet,
policier,
... rendre service, si du moins, je réussis à éclairer là où je veux. Avec l’aérateur, j’arrive plus facilement à m’éblouir qu’à éclairer l’intérieur de la pièce. La lumière blafarde du flash à LED sort enfin de l’ombre une partie de la pièce, me permettant de vaguement distinguer l’aménagement, qui est fort simple d’ailleurs, car il se compose juste d’un lit. Mais le plus intéressant, c’est que sur ce lit, il y a un type attaché et menotté, les yeux bandés. Dans d’autres circonstances, je pourrais trouver cette scène très excitante, mais pas aujourd’hui. Ne voyant pas son visage, je ne risque pas de le reconnaître, mais je suis certaine qu’il s’agit d’Antoine Dumont. J’en sais assez. Inutile de rester plus longtemps, je pense que la vie de cet homme retenu en otage ne tient qu’à un fil. Ils souhaitent certainement le faire parler pour qu’il leur révèle l’identité de son contact. Le gars qui est à côté va certainement passer la nuit à le surveiller. Il faut agir dès que possible. De retour en bas, je retourne jusqu’à la fenêtre avec d’infinies précautions. Il n’y a plus qu’à la passer, le vent frais me caresse la fente, mais je n’ai pas la tête à ça. Je suis dehors. Tout va bien. Repasser la clôture n’est qu’une formalité, même si je commence à regretter de ne pas être en pantalon. Plus que quelques centaines de mètres et me voici de retour à la voiture. Ouf ! Sans plus attendre, je contacte mes collègues de la BAC pour qu’ils effectuent une intervention immédiate. Une heure plus ...
... tard, un monospace vient se garer près de notre voiture. Cinq hommes en sortent, ils me regardent bizarrement, je pense que c’est à cause de ma tenue. J’ai comme l’impression que si je n’avais pas fait passer le message par la voie hiérarchique, je n’aurais pas été prise au sérieux. En les attendant, j’ai quand même pris le temps de préparer un plan d’intervention détaillé afin qu’ils perdent le moins de temps sur place. Le gardien ne doit pas avoir le temps d’alerter son chef. Il fait totalement nuit, c’est le moment idéal pour une intervention. Le commando est parti. Nous attendons maintenant leur signal. Quelques coups de feu parviennent jusqu’à nos oreilles, et peu de temps après mon téléphone sonne. L’opération a été un succès. Je démarre alors le monospace pour le placer devant le bâtiment, suivie par Laure. Quelques minutes plus tard, les hommes de la BAC sortent avec le gardien et son otage. Il s’agit bien d’Antoine Dumont. Mission accomplie. Nous rentrons chez Laure à vingt-deux heures passées. Nous n’avons toujours pas mangé, mais la première chose que je fais est de me déshabiller. Mes vêtements sont sales, je suis sale, j’ai hâte de prendre une douche. Pendant ce temps-là, Laure nous prépare à manger. Avec du pain de mie, de l’emmental et du jambon, elle a pu nous faire des croque-monsieur, c’est rapide et facile, et en plus c’est bon. Ils ont fini de cuire pendant qu’elle prenait une douche à son tour. C’est allongées sur le canapé, totalement nues, que nous les ...