1. Debut juillet, je fais la salope 1.


    Datte: 31/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Cela fait maintenant 3 semaines que Bruno est rentré. Je m’ennuie prodigieusement et je suis plus qu’en manque et plus que frustrée. De plus j’essaie d’appeler Didier mais sans succès. Il ne décroche pas son téléphone. J’ai essayé d’appeler Pascal, il devait me rappeler. Nous sommes début juillet, c’est le début des vacances, les effectifs sont réduits. La brasserie où j’ai l’habitude de déjeuner est bien entendu fermée, je décide de pousser un peu plus loin. Je ne sais pas si c’est le fait d’être en manque et de me sentir frustrée, lié au fait que je vais dans un endroit que je ne fréquente jamais, j’allume les hommes, je les regarde droit dans les yeux, avec un regard de salope tout en me dandinant. Une fois arrivé dans une autre brasserie, je m’installe en terrasse, les jambes bien dégagées de la table et ma jupe remonté à mi cuisse ; je vois bien que les hommes me regardent, je ne fais rien pour les en dissuader. Lorsque le serveur arrive, c’est un jeune, même très jeune. Je le regarde droit dans les yeux en le questionnant sur la carte. Je vois bien qu’il est troublé. J’exagère vraiment car il doit avoir une vingtaine d’année. Je déjeune en continuant à allumer tous les hommes. Je me fais inviter à prendre un café par un homme, pas mal, classe, mais un peu agé à mon gout, il doit avoir dans la soixantaine. J’allume le serveur comme une chienne en manque. Je poursuis les jours suivants, en lui demandant de m’expliquer la composition de certain plat proposé. Mes questions ...
    ... sont ambigües, je le fais exprès, et lorsqu’il ne comprend pas, je lui montre sur la carte pour qu’il se penche plus sur moi ; Je profite de ces moments pour croiser et décroiser mes jambes en les écartant plus qu’il ne faut, avec la jupe à mi cuisse, il rougit à chaque fois. * J’ai fait une reconnaissance des toilettes qui sont au fond du restaurant, sur le passage en cuisine et au sous sol, une position presque idéale pour faire des bêtises. Il faut que je passe à l’action. Nous sommes jeudi et le petit jeu dur depuis lundi. Je décide de mettre une jupe plissé mi cuisse, des talons hauts, des bas, malgré le temps chaud, un chemisier, un soutien gorge à balconnets, pour bien mettre ma poitrine en valeur. La matinée se passe, et je pars excitée comme une enfant qui va faire des bêtises. Je continue à allumer tous les hommes que je croise. Je passe devant une pharmacie, où il y a un distributeur de préservatifs à l’extérieur, j’en prends deux au cas où. Je me comporte comme une véritable salope, il faut que je me fasse le serveur. J’arrive en le saluant et en le regardant bien droit dans les yeux. Il m’accueille avec un grand sourire mais reste toujours un peu gêné. Je me comporte comme depuis le début de la semaine. Mes jambes sont décalées par rapport à la table, jupe plissée, remontée bien haut à la limite de mes bas. Je fais de l’effet, il y a même un homme en voiture qui a klaxonné. Lorsqu’il vient m’apporter la carte, j’en profite pour lui demander « qu’est ce que vous ...
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